WHISTHLER Dean •• pain, i like rought .

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« Bah! C'était pas faute d'avoir essayer. Mais je crois qu'il n'apprécie pas trop. J'ai juste eu un nez et une côte cassée la dernière fois que j'ai tenté. Demandez à cette Enea de l'appeler "mon chaton" et je suis sûr qu'il lui ronronnera à l'oreille, ce gros naze. »

Todd Spencer

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BEHIND THE MASK:

« Quoi ? Dean ? Que veux-tu que je te dise sur cet agité du slip ? Ou tu préfères savoir à quand remonte le dernier cadeau qu'il m'a offert ? Une fleur dont le nom n'est même pas répertorié dans le dictionnaire floral, et cueillie dans un jardin ! Et c'était pour s'excuser d'être arrivé en retard au rencart qu'il m'avait donné. Nom d'un chien, je transpire là ? File-moi la trousse à maquillage. »

Joey Smith, élève de terminale -en se vernissant les doigts de pieds-. La dernière relation à peu près censée que le jeune Whisthler a eu. Elle lui faisait de l'œil en cours de physique-chimie et s'arrangeait pour se cacher derrière lui en cours de volley ball quand une balle avait le malheur de rouler vers elle. Il ne l'appréciait même pas, mais il ne pouvait pas non plus recaler une nymphe fort blonde - et ce n'était pas ce qu'elle avait de plus fort chez elle. Elle parlait chiffon et fer à lisser toute la journée. Pas étonnant que Dean ait oublié leur second rencart au profit d'une partie de basketball avec les copains. Certes, on fait difficilement moins distrait que lui. On pourrait remettre ça sur le compte de son jeune âge mais il n'est pas vraiment quelqu'un d'attentionné, surtout avec les filles. Il a aussi un léger rejet des dates, surtout celles d'anniversaire, des "1 mois", "1 mois trois quarts"... il se demande souvent le nombre de choses inutiles que les filles peuvent avoir inventer pour se rappeler qu'elles étaient avec Dean Whisthler, un tel honneur qu'elles se devaient de célébrer leur relation à des dates déconcertantes... Non, ses chevilles vont très bien, rassurez-vous. De toute manière, il se peut que cela change bientôt. Depuis quelques temps, le très joli nom commençant par un E, terminant par un A et comportant 4 lettres (Elena, ne m'en veux pas) raisonne tout entier dans son esprit. S'il demeure quelqu'un de dissipé, il a réussi a penser à cette fille pendant plus d'une heure sans raison apparente.

« Belle poigne, mais on fait rarement mieux que moi. Il doit me rester encore un bleu sur l'épaule. Cette enflure m'a détruit l'arête du nez. En rentrant, ma mère a cru que je m'étais fait renversé par une auto. Je crois que j'étais dans un sale état. Mec, pour un mot écrit au tableau, il m'a prit la tête. »

Riley Call, lycéen. Dernier partenaire de combat de Dean. C'est un bagarreur, c'est un fait. Non pas qu'il soit particulièrement violent mais son impulsivité rend les choses nettement moins faciles quand il s'agit de régler des comptes. Il reconnait très bien avoir le poing facile mais s'excuse toujours quand le coup casse quelque chose qu'il n'aurait pas dû endommager. Au lycée, il lui ai souvent arrivé d'être reconnut par le corps administratif comme un élément perturbateur, ce qui lui déplait particulièrement. Dean a toujours été quelqu'un de calme et discret mais si certains adolescents en slip à cœurs nasillent des choses qui lui sortent par les trous de nez, il pense ne pas être capable de se contenir très longtemps. Ces derniers temps, c'est pire encore.

« Ce gosse, c'est pire que l'incarnation de Satan. Depuis qu'il a l'âge de sortir seul acheter du pain chez moi, j'ai une perte de cent dollars à cause des langues de chat qui disparaissent comme ça. C'est infernal. La dernière fois, il a renversé le stand de barbe à papa avec son ballon de basket. Et le morveux, il est partit en courant. Heureusement que son père était pas loin. Ah non mais vous savez, il n'est pas vivable. J'ignore comment fait le père Whisthler pour vivre avec un gosse pareil. Avec l'âge, on croit que ça s'améliore mais c'est pire encore. Si je ne devais pas me lever à cinq heures tous les matins, crois-moi que c'est avec ses cris que je le ferais. Hier encore il était en train de beugler dans la rue parce que Spencer lui avait emprunté son manteau. On aurait dit un loup attrapé dans un piège de chasseur. Ces petits-là, ils devraient garder leur voix d'enfant toute leur vie au lieu de muer comme pas permis. »

Mary Walter, boulangère tenant une boutique près de La Push. Pas étonnant que les professeurs l'aient classés dans les parasites à la première heure ou ils l'ont eu dans leur classe. Dean a toujours été quelqu'un d'hyperactif et joueur. Il ressent le besoin perpétuel de se dépenser et s'amuser. L'excuse qu'il vous sort à chaque fois que vous avez l'idée de rabattre son clapet ? « Je suis jeune. Il faut profiter de la vie. Quand je serais ridé et sourd, je m'autoriserais une pause. »

« Pourquoi je suis là, hein ? La faute à qui ? Bien, alors laisse-moi me plaindre, d'accord ? Si tu m'étais pas rentré dedans comme un bourrin avec ta pseudo moto -je m'en fou que tu l'aies réparée avec tes mains ou n'importe quelle autre partie de ton corps- je serais chez moi en train de lire Anne Rice. Non, je veux pas que tu m'apporte du Anne Rice, je m'en tamponne le coquillard. Ce que je veux, c'est mon canapé. Et le bout d'os qui s'est échappé de ma jambe, crétin. Maintenant, je veux un thé cannelle/vanille. »

Rachel Loan, lycéenne - à l'hôpital. Il n'avait vraiment pas fait exprès. Il l'avait renversé alors qu'il se postait sur une chaussée glissante et cette très belle brune se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment. Ce n'était une nouvelle pour personne, mais malgré le fait qu'il soit très habile de ses doigts, Dean demeurait quelqu'un de très maladroit. Depuis quelques temps son corps changeait, et il ne savait plus trop quoi en faire ni comment le tenir à la verticale sans passer pour un pantin désarticulé. C'était courant chez les garçons, leur poussée de croissance survenait brutalement et était souvent si impressionnante que les filles qui se vantaient d'avoir été plus grandes qu'eux à un moment de leur vie en restaient coites d'étonnement. Argument plus pertinent encore : le sang quileute qui coulait dans ses veines ne lui laissait pas d'autre choix que de pousser comme une bonne plante. Ainsi, pendant plusieurs années il était passé pour le maladroit de service mais, pour des raisons purement surnaturelles, sa maladresse devait maintenant être remplacée par une grâce et un exquis port de tête qui ferait pâlir de jalousie un petit rat d'opéra.

OBJET FETICHE: Vu le bordel permanent qui entoure Dean tel une aura maléfique (--->), il est quasiment impossible pour le jeune homme de garder un objet sur lui perpétuellement sans risquer de le casser et/ou le perdre et/ou le salir. Il se contente donc du strict minimum, surtout qu'il n'est pas superstitieux le moins du monde. On peut donc voir à son poignet droit une fine cordelette de cuir brun tressé, résistant à tout choc violent et lavable indéfiniment -il ne compte même plus le nombre de fois ou le cambouis lui recouvre les bras.

GOUTS: La liberté est une vertu à laquelle Dean voue un culte indéniable -sûrement son côté lupin en est-il pour quelque chose. Il passe les trois quarts de son temps dehors à traîner dans les rues, les forêts, la nature, bref chaque endroit ou l'oxygène se fait plus pur bien que l'air sente rarement autre chose que la pluie. Il aime également tout ce qui touche à la mécanique et c'est dans son garage qu'il passe le dernier quart de son temps, à retaper autos et motos. Il déprécie beaucoup de choses mais en général, les choses qu'il aime sont simples et fondamentales et similaires à celles des autres jeunes hommes de son âge. Manger, dormir, le sport, les filles... Non, vraiment, ce n'est pas quelqu'un de fanatique.

PHOBIE: La peur de l'enfermement a un nom : la claustrophobie. Toutefois il sera presque indécent pour ceux qui en sont réellement victimes de dire de quelqu'un qu'il est claustrophobe alors qu'il dort toutes les nuits dans une piaule plutôt étroite. Cela se traduirait plutôt par une peur de se voir couper des ailes. Il sort le plus possible et devoir resté cloitré quelque part lui est inimaginable et insoutenable -hormis son garage et sa chambre (mais il ne va dans celle-ci que pour dormir, et encore il la boude parfois au profit du canapé dans le salon) il exècre les endroits clos, non pas par l'angoisse de l'étroitesse du lieu mais plutôt par le sentiment d'étouffement qu'il ressent et l'habitude qu'il a de se mouvoir dans des lieux indélimités.

Invité

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Misery Angel

Forever Begins Now

CHAPTER ONE :

Un feu.

Brûlant. Je ne voyais plus que des flammes incandescentes lécher chaque parcelle de ma peau. Je pouvais presque entendre le crépitement des flammes qui broyaient mes os. Le regard confiant de mon père ne fit qu'accentuer mon éréthisme. Chaque respiration devenait déchirement, et chaque mouvement torture. Je voyais dans les yeux de l'homme en face de moi le tourment de mon propre reflet. Une infime seconde, je restais bloqué dessus et mon père recula d'un pas.

« Dean. Tout va bien. » murmura-t-il d'une voix enrouée trahissant son anxiété. Je doutais de sa sincérité. Mon corps était en feu et bientôt ma personne entière fut agitée de tremblements incontrôlés. Comment lutter contre cette atroce impression de se déliter ? Je serrais les poings et entourais mon torse de mes bras pour empêcher ma cage thoracique d'exploser. Il ne fallut que quelques secondes de plus pour comprendre que mes os, avec ou sans la protection de mes bras, finiraient par se briser. Le tout ne dura qu'une seconde. Le chef de la push eut à peine le temps de reculer d'un infime pas. C'était malheureusement la seconde la plus interminable de mon existence. Je tentais de me rappeler ce qui avait pu m'emmener là. Je voyais défiler sur ma rétine les dernières images de la matinée. La rue, grise. Le lycée de la ville. Un visage en cœur entouré d'une crinière chocolat... Enea. A Forks, le soleil avait semblé avoir gagné sa lutte perpétuelle contre les nuages. Je me souviens avoir mis mes mains en porte-voix. Puis le manteau gris d'un étudiant à ses côtés.
Je me rappelais alors le regard sibyllin et inquisiteur qui s'était posé sur moi. L'un de ces regards qui vous donnait l'impression d'être fouillé. Deux prunelles ambrées qui m'attrapaient et ne me lâchaient pas. L'envie furibonde de lui retourner les tripes.

« Dean, contrôles-toi. »
Comment pouvais-je ? Je hurlai de douleur mais ne m'entendais pas. A la place, le craquement d'un corps qui tout compte fait n'explosait pas. Je n'allais pas mourir. Pas maintenant. On ne pouvait pas mourir d'une implosion du corps humain. Cela n'existait pas.

C'était bien pire

Un grognement déchirant brisa mes tremblements. Ce ne fut qu'en ressentant un brûlement de gorge que je compris qu'il venait de moi. Ma tête heurta violemment le plafond et mon père devint soudainement si microbique que j'eus l'impression qu'il s'était éloigné de moi de plusieurs mètres. Je n'avais jamais senti pareille douleur auparavant et celle-ci me rongeait les chairs. J'avançais, abattu, étourdi, presque inconscient. Je ne comprenais pas pourquoi tout avait tant changé. Ma vue, plus nette, aux couleurs réduites. Mon odorat ; je sentais le pain fraîchement mis en vitrine de la boulangerie de l'autre côté de la rue. Mon ouïe, et le battement du cœur de mon père résonna si clairement à mes oreilles que je le confondis avec le mien. La puissance que je sentais en moi me désarçonna. J'avançais d'un pas plus ferme que nécessaire et trouai le plancher. Un hurlement lancinant retentit dans la maisonnée et je fus surpris de la teinte tragique de la plainte.
« Je t'en prie, Dean, calmes-toi. Tout va bien, je vais tout t'expliquer. »

Je cherchais en vain le rapport entre Enea, Declan, ma colère, mon père, ma mutation. Prononcer le premier prénom, même intérieurement puisqu'il m'était de toute façon impossible d'articuler quelque syllabe que ce soit, n'aida pas à atténuer mon courroux. Depuis peu, ce jeune homme fréquentait Enea. Ce n'était pas un facteur qui aurait pu normalement m'irriter puisque je n'étais pour la jeune fille qu'un ami d'enfance, et pour le garçon, rien de plus qu'une connaissance. Toutefois j'avais l'impression de devoir protéger la fille et l'éloigner de lui de quelque façon que ce soit, et non pas parce que je voyais en lui un soupçon de compétitivité dans la conquête du cœur de la jeune Warrens. L'alchimie presque malsaine entre eux deux avait un effet destructeur sur moi et je n'avais pas la moindre idée de ce que cela impliquait. Je tentais d'ailleurs la plupart du temps d'oublier la rancœur inexpliquée que j'éprouvais face à Declan, d'une part parce que c'était d'un ridicule à en faire mourir de rire une hyène mais aussi parce que techniquement, Bratford ne m'avait rien fait. Seulement, je n'avais aucun remord à éprouver un certain ressentiment envers lui car il me le rendait extrêmement bien. L'idée que ce soit son regard de travers qui m'ait conduit jusqu'ici fit naître dans ma poitrine un feu mordant. Un sombre borborygme me sortit de ma catalepsie douloureuse. Le ton doucereux de mon aïeul m'irrita et je lui coupais la parole d'un grognement qui m'horrifia. J'avais conscience de l'enveloppe corporelle que j'avais alors emprunté mais je ne désirais pas la voir. Il m'avait suffit d'apercevoir les traces des griffes sur le plancher pour imaginer l'état dans lequel j'étais. Tout ce que je désirais était de savoir comment m'extirper de cette abomination.

« Nom d'un chien, Dean, arrête de geindre comme une bête et écoutes-moi. Je te promets que tout ira bien. Fais-moi confiance, tu n'as pas le choix. »

La façon dont il détachait chacune de ses syllabes redressa les poils sur mon échine et les lattes craquèrent sous moi. Il avait raison : je n'avais pas d'autres choix que de l'écouter. Apparemment, il avait entière conscience de ce qu'il m'arrivait. Je baissais la tête, bouleversé, en signe de rémission. Les tremblements avaient cessés, de même que le feu. Ce n'en était pas moins troublant et je tentais d'oublier l'envie furieuse que j'avais eu de tuer l'homme à mes côtés. L'échine courbée, j'écoutais le début de son récit.

CHAPTER TWO :

J'entendis le ronronnement d'un moteur qui m'était familier. Il était presque vaniteux de se l'avouer mais j'avais conscience de ma connaissance en terme d'automobile. Je levais les yeux de la magnifique moto d'un grenat sombre que j'avais retapé de la seule force de mes mains et que je chérissais désormais comme un enfant chérit son premier animal de compagnie, pour apercevoir une jeune fille claquer la portière d'une voiture.
Je n'avais jamais été très bon en matière de reconnaissance faciale mais la description que les gens avaient faite toute la semaine durant sur l'arrivée d'une nouvelle venue confirma mes doutes. De loin, il me fut aisé de la reconnaître. J'avais certes passé mon innocente enfance avec elle mais le corps change évidemment et derrière ce rideau de cheveux bruns, sûrement davantage foncés par la pluie (et je grimaçais pour elle, aucune fille n'aimait la pluie), il m'était ardu d'apercevoir ne serait-ce qu'un centimètre carré de son visage. Elle portait un blouson marron et un jean simple, des bottes parfaitement conçues pour la pluie (et j'étais certain que le premier homme à avoir inventé des bottes aussi imperméables résidait à Forks) et il ne nécessitait pas d'être un grand observateur pour deviner qu'elle n'aspirait pas à la mode.
Alors qu'elle ramassait le trousseau de clé qui venait de tomber à ses pieds (dans une flaque, en plus de cela) d'un air las, je jetais un œil sur ma tenue et lâchais un soupir accablé. Pourquoi avait-il fallut qu'Enea arrive ici à un moment ou je n'avais rien d'autre sur moi qu'un vieux jean troué et délavé et un marcel blanc -plus tout à fait blanc- ? Recouvert de cambouis des pieds à la tête je devais passer pour le mécano dérangé du coin et je ne désirais pas faire mauvaise impression. J'avais été heureux de savoir que la fille avec qui j'échangeais mes glaces à mes six ans était revenu dans ce trou perdu. J'ignorais encore la raison de sa venue même si j'avais eu quelques renseignements grâce aux commérages des lycéens de la ville. ils se morfondaient tellement dans leur coin qu'à chaque nouveauté ou changement à la météo, ils se sentaient dans l'obligation d'en faire un article dans le journal du lycée.
Ils devaient sûrement avoir fait une biographie au sujet de Warrens retraçant son passé et les moindres détails malsains de sa vie.

Je me redressais en soupirant derechef et avançais vers elle en peignant sur mes traits l'expression la plus aimable qui soit.

« Enea, c'est ça ? » l'appelais-je à quelques pas d'elle. Elle sursauta à l'entente de ma voix et je fus surpris qu'elle ne m'ait pas vu. Si je n'avais pas attiré son attention, la moto qui avait été à mes côté devait sûrement l'avoir fait, de son rouge pourpre inhabituel sur ce décor gris.
« Oh. Oui, c'est ça. » répondit-elle d'une voix si éteinte que je me demandais si elle n'était pas déjà malade.
« Dean. Dean Whisthler, je suis le fils de -... »
« Oui, je sais. Enchantée. » me coupa-t-elle en jetant un œil furtif sur le chiffon que je tenais, se demandant sûrement s'il était d'usage de me serrer la main. Mieux ne valait-il pas qu'elle touche les mienne, elles étaient recouvertes de graisse. Un sourire embarrassé étira ses lèvres pleines et sa jambe se mit à s'agiter toute seule.
« Anxieuse ? »
« Ce n'est pas facile. Je ne connais pratiquement personne. » Elle se mordit la lèvre et inspira bruyamment. Je ne pus m'empêcher de lâcher un rire amusé et elle me jeta un regard à la fois interrogateur et vexé. Elle devait sûrement se demander si je me moquais d'elle.
« Ne t'en fais pas, ils sont très sympas. Et je suppose que tu n'es pas le genre de fille à t'attirer des ennuis. »
« Très rassurant. Oui, en fait je suis plutôt du genre à parler le moins possible, si tu vois ce que je veux dire. »
Son rire carillonna avec douceur. Il me fut immédiatement agréable. Ses joues s'empourprèrent, sûrement de gêne car elle ne savait plus ce qu'elle devait faire, et je profitais du silence pour l'inviter à la maison. Il aurait été incongru et déplacé si nous étions de parfaits inconnus mais je n'avais pas de raison de me sentir gêné ; nous étions plus que cela. Elle connaissait mon père et même si elle paraissait n'avoir qu'un très vague souvenir de moi, je m'étais promis d'être accueillant. Elle n'était pas non plus seule au milieu de tous : elle avait son frère. Mais mon père m'en aurait certainement voulu si je ne lui avait pas amené Enea à la maison.
C'était un argument que je cessais de me repasser en tête. Car plus les minutes défilaient et plus j'apprenais à apprécier en elle chaque éclat de sa personne.
Aucun doute ; nous allions devenir de grands amis.

Invité

Bienvenue Dean !
Riley/Angy

Invité

WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 126352

Bienvenue! ^^

Invité

Merci Angy et Pearl WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 98913

Bah Fenou, j'aime te contrarier mon chaton WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 657892

Une petite question, j'ai réfléchis et je trouvais plus intéressant de jouer un Dean ayant déjà subi sa première transformation... c'est possible ?

Ahh un Dean! WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 216384

Bienvenue ici, et merci pour ton inscription.

Oui ton perso peut déjà avoir eu sa transformation. ^^

Un dean!
Welc.omee! (:

Invité

En tant que supporteuse du parti Jacobien je pouvais pas laisser Dean libre, ça fait des semaines que je lui tourne autour WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 130558

WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 130558

--->
Mercii WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 585949

Dahh, CC y'est HAWT.
XD
Moi jsuis le père adoptif du petit copain bizarre & weirdo (tape pas Decky, tape pas! XD) de la fille que tu convoites, saluuut! (:

Ali, j'ai du relire au moins 3 fois ta phrase avant de saisir qui était qui.... Mais où tu vas chercher ça? xD

Alister Bratford a écrit:: Dahh, CC y'est HAWT.
XD
Moi jsuis le père adoptif du petit copain bizarre & weirdo (tape pas Decky, tape pas! XD) de la fille que tu convoites, saluuut! (:

Père adoptif = moi.
Petit copain bizarre & weirdo (pas tapper!) = Decky aka Declan
Fille que tu convoites = touaaa, petite Enea des bois!
Tu = Dean!

Ben valaaa, tout s'explique! XD

Enea Warrens a écrit:: Ali, j'ai du relire au moins 3 fois ta phrase avant de saisir qui était qui.... Mais où tu vas chercher ça? xD

Mdr

Tu vois, y'a un truc que j'ai reçu à la naissance que je viens de découvrir et dont je ne me sers pas très souvent...
Mon cerveau x)

Ahh zuut, j'espère que j'ai pas traumatisé le nouveau venu!OO
Ce serait bête, un peu de compétition pour le coeur de la miss va faire du bien à Decky, il commence à avoir la tête enflée XD
**JE L'AI POUR MOI TUSEUUUUUUUUL NIAAA**

oh, seigneur.
Rappelez-moi que le café, c'est pas bon pour mon mental.

Aie aie aie, faut pas faire de favoritisme pour le fils adoptif perduu (pas tapper!)
On t'aime quand même, Dean! (:

WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 61910

HAAAN Chace

décidément c'est la journée *arrivée en masse de BG*

Dean est le Jacob du fow alors si j'ai bien suivit
Merki d'exister rayon de soleil mais je suis pour Decky too WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 657892

Bon courage pour finir ta fiche miss =)
Au plaisir d'être ton ennemie xD [pourquoiiiiiiiiiiiii je veux lui faire des bisous moiiiiiiiii]

Invité

Mouais les filles je vais vous faire aimer Jacob moi...
Merci Declan, au plaisir de se retrouver en rp pour une fight du tonnerre xD Et oui j'aime énormément Steven Strait mais Chace me tendait les bras alors j'ai pas pu refuser... et Elena, je me passe de tout commentaire XD

T'inquiète pas Alister je suis pas traumatisable facilement XD et je me ferais un plaisir de concurrencer ton fils WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 216384

Ah, désolé Vesper l'appel de Chace était trop fort! Et puis menfiche, j'ai ma pompom girl attitrée, hein Elena ? MDR nan mais Jacob c'est celui qui tient la chandelle et qui souffre et c'est pour ça que je l'aime WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 77838

WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 77838

Oh, Blake (l) merci Olivia, puis si tu veux on sera des ennemis très rapprochés WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 818625

Invité

Ta pompom girl attitrée ?

Invité

T'as pas de raison d'avoir honte fenou, un jour ou l'autre ça devait éclater au grand jour, ce truc entre nous deux.

Alister Bratford a écrit:: un peu de compétition pour le coeur de la miss va faire du bien à Decky, il commence à avoir la tête enflée XD

Mdrrr comment on parle de moi quand je ne suis pas la --'
Pour dire des méchancetés en plus >< xDDD

Citation :: Jacob c'est celui qui tient la chandelle et qui souffre et c'est pour ça que je l'aime

Rien que pour ca, je serais tentée de te laisser Enea vois tu (Elle va me taper si elle lit ca --' )
Team Jacob oblige. WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 77838

xDDD

Dean Whisthler. a écrit:: Oh, Blake (l) merci Olivia, puis si tu veux on sera des ennemis très rapprochés

Voui vouiiiiii WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 809505

[pourquoi faut t'il qu'il y ait une incompatibilité vampire/louloup WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 734213

]

Dean ^^

Declan Bratford a écrit:: Rien que pour ca, je serais tentée de te laisser Enea vois tu (Elle va me taper si elle lit ca --' )
Team Jacob oblige. xDDD

Fais gaffe toi que je te prenne pas au mot.... WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 475567

Declan Bratford a écrit:

Alister Bratford a écrit:: un peu de compétition pour le coeur de la miss va faire du bien à Decky, il commence à avoir la tête enflée XD

Mdrrr comment on parle de moi quand je ne suis pas la --'
Pour dire des méchancetés en plus >< xDDD

Citation :: Jacob c'est celui qui tient la chandelle et qui souffre et c'est pour ça que je l'aime

Rien que pour ca, je serais tentée de te laisser Enea vois tu (Elle va me taper si elle lit ca --' )
Team Jacob oblige. WHISTHLER Dean •• pain, i like rought . 77838

xDDD

DECKYYYY, JTE NEMM!
Dean: ah ben tant mieux XD

» Dean Whisthler, « l'identité sera convulsive » (U.C.)
» &&. Dean Whisthler ••• « L'homme est un loup pour l'homme. »