Merlow Callahan | Sweet && vampiric

MERLOW CALLAHAN

Let’s start from the beginning.

NOM :

Mon nom ? En quoi cela peut-il bien pouvoir te regarder ? Tu veux me traquer ? M’agresser dans un coin ? Mon petit, tu risquerais d’avoir plus mal que moi. Sans me vanter, je crois être plus forte que toi. Bon, aller, si ça peut te faire plaisir… Callahan. Avec deux L, voilà, c’est mieux. Avant je m’appelais Meadows.

PRENOM(S) :

Mon prénom ? Il est… Comment dire ? Particulier. « Merlow » Alors après je ne me souviens pas si mes parents étaient des alcooliques, bon rapport au merlot. (Vin rouge && culture générale…) mais ce n’est pas tout. Je m’appelle Merlow Kay Meadows Callahan. Avec ça, on avance bien dans la vie…

SURNOM(S) :

J’ai divers surnoms, comme tous le monde je suppose, même toi tu dois en avoir un, non ? Non. Ok. Alors pourquoi je te dirais le mien ? Parce que je suis une fille adorablement adorable ? Ok, tu notes ? Le plus récurent est « May ». Alors je te passe les détails d’écrire les autres. Je sais, j’suis sympa…

AGE :

L’âge que j’ai ? 18 ans pourquoi ?! Certes, depuis longtemps,… si l’on soustrait mon apparence d’une jeune femme à mon âge réel on obtient 162. Exercice mathématique, alors mon ami ? Quel âge ais-je ? 180, bien! Tu m’as l’air doué en calcul mental, ça peut aider…

DATE DE NAISSANCE :

Je suis née le 1er juin de l’année 1828, comme les plus grands, regarde Jules Vernes, Tolstoï, Henri Dunant ! Tous des natifs de cette belle année. Ce fut également l’année de la mort de Victor, que tout le monde connait sous le nom de « l’enfant sauvage ». (Lecture && culture générale…). Mais je suis née, ça a rétablie les choses…

LIEU DE NAISSANCE:

Donc en 1828, arrêtes, je parle ! « Lieu de naissance », bah j’y viens ! Comment ça je parle trop ?! Pas vraiiiii ! Je suis donc née à Londres. Non, ce n’est pas pour ça que je parle ! Ça suffit, question suivante =P

OCCUPATION :

Merlow, c'est-à-dire, moi-même à vrai dire, a divers occupations ! Mais oui. Tout d’abord, je lis beaucoup, et à vrai dire, puisque je ne dors pas, je peux largement vaquer à divers occupations. Je suis également musicienne, guitare, piano, j’ai plein d’albums de toutes sortes. Sinon, je chasse les animaux, on dit que nous allons camper et nous nous y nourrissons. Sinon, je suis étudiante en dernière année au lycée, ou « lycéenne en terminale », en gros, passer les mêmes diplômes tous les 5 à 7 ans m’amuse comme une petite folle. Sans commentaire pour le « petite folle » !

GROUPE:

We don’t want to be a monster, en gros, je suis un vampire. Mais je ne m’attaque qu’aux animaux… T’as de la chance n’est-ce pas ?!

What do you live for?

BEHIND THE MASK:

Les sentiments liés aux personnes comptent beaucoup pour moi. Tout d’abord, je tiens beaucoup à ma famille, ce sont mes sœurs : Olivia, qui, contrairement à moi, refuse de penser à sa vie d’avant, celle de lorsqu’elle était une humaine, elle qui m’a défendue au début et Amy. Elle est comme Kay, la petite sœur que j’avais, après ce fameux soir, je ne l’ai jamais revu, je reporte donc mon affection sur elle, mais également mon peu d’autorité lorsqu’elle se rend trop exubérante. Ensuite, l’amour. Les québécquois disent que l’on ne peut empêcher un cœur d’aimer et c’est vrai, même quand celui-ci a arrêté de battre depuis plus d’un siècle et demi. Comme je ferais tout pour mes sœurs, j’en ferais de même pour mon homme, je l’aime beaucoup et, comme une femme normale, une humaine, je suis même parfois un peu jalouse, lorsque je vois des jolies filles. J’ai un peu peur qu’il craque et qu’il tue de nouveau mais j’ai foi en lui…
Je suis discrète, posée mais je ne suis pas impotente ! Je gère les situations de crises avec calme, essaye de concilier ma vie de couple, ma vie de famille, ma vie amicale. Tout cela n’est pas si simple quand on y regarde… Je suis avide de connaissance, je suis vouée à la damnation donc je peux bien essayer de me rapprocher de Dieu. C’est pour cela que je lis inlassablement, et que j’aime tant parler avec Alister. Il est tellement passionnant, il a tellement vécu.
J’aurais, plus que tout, souhaité avoir un enfant. Je sais pertinemment que ça nous est impossible physiquement et qu’en créer est illégale mais je n’en ai parlé à personne, même Conrad ne le sait pas… Et puis, il m’arrive de dormir. Pas pour de vrai bien sûr mais je m’allonge parfois la nuit, je ferme les yeux et je médite, ou alors je reste allongée des heures contre le torse de Conrad sans ouvrir les yeux, respirant paisiblement alors que cela ne nous est plus vital…

OBJET FETICHE:

Si je ne devais avoir qu’un seul objet, ce serait une croix en or blanc dans ma famille depuis des générations. A la fois précieuse car elle représente une religion que j’ai toujours beaucoup respectée car on me l’avait enseignée dès mon plus jeune âge et de l’autre car je n’aurais jamais d’enfant a qui la léguer. Elle est les derniers vestiges de ma famille. Enfin, ma famille humaine car je n’oublierais jamais mes sœurs.

GOUTS:

J’aime beaucoup de choses : tout d’abord, l’Histoire. Les récits divers, l’antiquité mais également sur l’histoire des hommes mais également la notre, celle des créatures fantastiques. Je suis passionnée de lecture, je lis inlassablement, d’ailleurs, j’ai toujours au moins un livre dans mon sac. Il y a également la musique, j’ai beaucoup, beaucoup d’albums, mais également mon I-Pod que je ne quitte jamais, oui, tout comme mon livre. Je joue de la guitare, du piano, j’ai même fait Woodstock ! Preuve que j’aime la musique… Et puis il y a la chasse, ce n’est pas le fait de manger que j’aime mais tout simplement le fait de courir, de ne pas cacher notre « nouvelle » nature. Et enfin, il y a ma voiture, une Koenigsegg CCX, un belle voiture, très, extrêmement rapide

PHOBIE:

Ma plus grande phobie est une peur totalement rationnelle. J’ai peur de m’attaquer un jour à un humain, le mordre, ne pas pouvoir me retenir, le vider de son sang, le tuer entièrement, aimer ça et ne plus pouvoir m’empêcher de recommencer inlassablement et de tuer et massacrer des innocents. Ce que, malgré tout, je faisais au tout début…

Forever Begins Now

CHAPTER ONE :

« On juge entièrement un homme,
Sur sa façon de braver la mort »
Henri Beraud


Il faut savoir se sacrifier, surtout lorsque c’est pour la bonne cause. Mourir pour sauver une personne qui nous est chère, rien ne devrait être plus important. C’est l’amour qui devrait régir le monde, pas la peur, ni le mépris pourtant si fréquent.

Je vivais encore avec mes parents, riches bourgeois très puissants, et ce, dans un charmant pavillon. J’y avais eu un précepteur qui m’avait appris les langues comme l’anglais, ma langue natale, ou le français, la littérature, en bref, ce qu’une jeune fille de bonne famille se devait de savoir. J’avais été élevée dans un respect strict de la religion protestante et j’étais très croyante, le travail menait à la rédemption du péché originel, on était élu ou non, chaque chose était bien définie. A mon tour je m’occupais de ma sœur cadette, lui enseignant ce que l’on m’avait appris, car malgré le fait que je fus déjà très discrète, je n’en étais pas moins excellente pédagogue.

J’étais également éprise d’un jeune homme, beau comme un jeune dieu grec, pâle, gracieux, splendide. Je l’avais rarement vu mais pour moi, c’était l’homme idéal, il était plus vieux que moi, assez distant, ça ne le rendait que plus fascinant, plus attractif, de plus, je savais que je devrais bientôt me marier, j’avais bientôt vingt ans après tout, certaines personnes dans les diners me caractérisaient même de « vieille fille », tout cela car leurs parents avaient trouvés bon de les marier à peine sorties des couches ces vieilles pies. Mais il me plaisait vraiment beaucoup, jusqu’à un certain jour…

« Kay, nous rentrons, il se fait tard ! » J’interpellais ma petite sœur de 7 ans, elle était magnifique, un petit poupon blond avec de grands yeux clairs, et ce, pour qu’elle revienne vers moi, après avoir couru après quelques pigeons. Je lui pris la main afin que nous puissions tranquillement retourner chez nous, déjà que nous avions du retard : c’était le crépuscule désormais. Mais ceci était sans compter qu’elle vit un chat dans une ruelle, alors que l’obscurité tombait, elle me lâcha la main pour y courir et je la suivie pour ne pas la voir disparaitre dans les profondeurs de la nuit. Et je le vis.

Là, debout, immobile, plein de grâce mais également effrayant, il fixait ma sœur presque avec avidité, son regard était rougeoyant, sa grimace s’étira en un sourire de dents blanches parfaites droites, lisses et blanche. Je me déplaçais doucement, ne sachant pas vraiment comment cette fascination avait pu se transformer en frayeur en l’espace de quelques secondes. Je reprenais la main de Kay et murmura : « Rentre. Cours à la maison. Ne te retourne pas Kay, je t’en supplie ». Le mouvement de tête que fit alors l’homme me laissa penser qu’il avait parfaitement entendu ce que j’avais dit.

Kay s’éloigna, et bientôt, elle se mit à courir, comme si, elle aussi, avait senti que nous étions en danger, comme si elle avait compris que toute notre vie allait changer. J’avais également cette impression mais je ne savais pas encore dans quel sens. Puis je me dis que j’allais mourir, je souris, en effet, la mort m’effrayait moins que le vieillissement, mais je n’avais presque rien vécu. Mais ça n’importait plus, j’avais sauvé la vie de la seule personne qui comptait vraiment à mes yeux, celle pour qui j’aurais pu tout faire. Et mourir pour quelqu’un que l’on aime, me semblait être une fin enviable. Derechef, il me sourit, non, c’était impossible, il ne pouvait pas savoir ce a quoi je pensais. C’était impossible, ce n’était pas humain. Soudain, il commença à parler…

« Je ne l’aurais aucunement touché, tu le sais ? Ce qui m’intéresse ici, c’est seulement toi. Toi seule a le potentiel que je recherche »

Kay n’avait rien risqué ? Non, il la regardait avec tant d’envie, c’était difficile de ne pas le savoir immédiatement, de ne pas comprendre qu’il allait lui faire du mal, mais il dit que moi seule l’intéressait et je souhaitais savoir pourquoi. J’ai toujours été comme ça, ma discrétion habituelle tombait a chaque fois que je tombais sur un problème que je ne pouvais résoudre, me forçant, présentement, à confronter le danger pour le comprendre. Un « potentiel » ? Je ne comprenais pas vraiment ce que cela signifiais, du moins pour moi car, ne soyons pas naïves, il ne s’intéressait pas à moi car j’étais bilingue, il fallait en convenir mais que cela signifiait-il ?

Il bougea imperceptiblement et en une seconde, il se retrouva à mes côtés, je sursautais et m’éloignais de lui, trébuchant quelques peu, les yeux grands ouverts exprimant un mélange entre la peur et l’incompréhension. Se déplacer si vite était inimaginable, c’était un fait proprement improbable. Il m’attrapa soudainement, ses mains étaient glacées et me mordis dans le cou. Je m’en dégageais comme je pouvais et essayais de courir, cela m’était impossible, comme si j’étais imprégnée d’un sédatif m’ôtant de mes capacités physiques sans m’annihiler par rapport à la douleur que je ressentais, ma respiration était haletante… et soudain. J’aurais crié à tout poumons si j’avais pu, je brulais littéralement, de vives flammes semblaient de propager de mon cou à chacun de mes organes, à mon cœur tout d’abord, j’eus l’impression que ce feu le transformait en pierre, quelque chose d’un poids considérable et qui m’écrasais le torse. La douleur au niveau de ma poitrine continua lorsque le même processus ce fit au niveau de mes poumons. On me maintenait fermement pour ne pas que je bouge trop.

Des heures plus tard, je souffrais encore autant, je ne sais pas combien de temps ça à durer mais je ne voyais pas le bout du tunnel. Mourir faisait vraiment beaucoup souffrir, je ne l’aurais jamais pensé si je n’en avais pas fait l’expérience, au moins, c’était ceux à quoi je pensais à ce moment là. Et il n’y avait que ce feu qui, inlassablement, passait dans mon être afin de transformer ma douce peau en un roc incassable. Après plusieurs heures, plusieurs jours, j’ouvris enfin les yeux.

Il était là. Je me redressais vivement, me sentant étrangement légère, très légère, j’analysais chaque donnée avec une rapidité impressionnante, jamais mon cerveau n’avait été aussi prolixe. « Où suis-je ? » J’en fus étonnée, cette voix n’était pas la mienne, elle était plus claire, plus chantante, plus jolie. Il me sourit. Je fronçais les sourcils, puis regardais ma main, elle était claire, blanche même, j’avais toujours été pâle car c’était de convention mais là, j’étais d’une blancheur,… Comme lui. Je regardais autour de moi, j’entendais tout comme si c’était tellement proche, comme si on me les disait à l’oreille. J’essayais de me lever et constata ma vitesse. J’étais devenu un être étrange…

Je me découvris par la suite entièrement, j’étais mince et beaucoup plus belle qu’avant, mes cheveux étaient lisses et bruns, ma peau sans imperfection, sauf… Sauf ces yeux immondes, ces prunelles rouges, et cette brulure dans que je ressentais dans la gorge et qu’il appelait « soif ». Je découvris également que je n’étais pas la seule, il y avait une jeune femme qui avait 46 ans de plus que moi, Olivia.

CHAPTER TWO :

« Là où l’on s’aime, il ne fait jamais nuit »
Proverbe africain


Je marchais tranquillement, revenant à la maison. Enfin, tranquillement,… Je n’avais pas aimé rencontrer le clan de Pennsylvanie, ces « rois » des vampires, ce que nous étions même si j’avais eu du mal à accepter mon âme pour cela mais maintenant, je m’y faisais. Plus précisément, depuis que mes sœurs et moi-même avions décidé de se contenter d’animaux, comme si, pauvres humains, nous ne mangions que du Tofu. Certes, c’était eux qui avaient établies nos lois mais ils détruisaient ceux qui n’obéissaient pas et aucune seconde chance n’était accordée. Le plus vieux, Nicholaï si mes souvenirs sont bons, semblait comprendre les personnes en les effleurant ; le second, Nolan, était nonchalant, tout le temps au bord de l’assoupissement, si tant est que nous puissions dormir et le troisième, je l’avais trouvé assez attractif. Il s’appelait Kaleb et malgré le fait que je n’ai aucun pouvoir, il m’avait été aisé de savoir qui cet homme était : Il était dangereux, mais également prévisible, et malgré le respect qu’il portait a ses frères, il m’a fait penser à un enfant qui serait prêt à déclencher des guerres pour que l’on lui rende son jouet. Ce que je ne savais pas encore, c’est, qu’après leur départ, celui que je rencontrerais leur serait intimement lié.

Je n’étais plus qu’à une quinzaine de minutes de la maison où étaient les filles, mes sœurs, Olivia et Amy, qui, une nouvelle fois, c’était faite remarquée au lycée, combien de fois devrions-nous encore lui répéter de faire attention ? Soudain, je fis plus attention aux pas qui me suivaient depuis quelques instants, j’humais l’odeur qui se dégageait de cette personne, un homme d’une trentaine d’années, qui me héla « Hep, que fais-tu dans des ruelles sombres tard dans la nuit ? Tu attends que l’on s’occupe de toi ?! Si c’est le cas, j’arrive ». Il était plusieurs mètres derrière moi mais je sentais l’alcool émaner de lui. Aussitôt, je tournais dans une rue transversale et me hissait avec la rapidité d’un fauve et l’élégance d’une gazelle sur un des balconnets de l’immeuble, ne prêtant pas garde à un autre vampire, un homme, non loin de moi. Alors que l’alcoolique tournait dans la rue à son tour, il ne me vit pas, il passa donc son chemin. L’autre vampire se retrouva a s’asseoir à côté de moi. « Tu ne le chasse pas ? Tu le laisses partir ? » Je tournais la tête vers lui, avant de lui dire que ça ne le regardais en rien, il rit et me proposa de le tuer pour moi. Une nouvelle fois, je refusais. Descendant de la balustrade, il me souffla « Conrad Jackson » et disparu.

Je souriais sans vraiment savoir pourquoi et fini le chemin menant à la maison en courant. Arrivée je me retrouvais interrogée de toutes part par une bande de deux vampires blondes assoiffées de potins. Auxquelles je ne trouvais rien à répondre. « Je le sens May, alleeeeerrrr ! » J’arquais un sourcil avant d’expliquer à Amy qu’avec ce vampire, nous n’avions parlé que deux secondes, et bien pour ma « cadette », cela était largement suffisant. Je passais ma nuit à réfléchir, assise dans un fauteuil, mes jambes dépassant d’un côté, du jazz résonant dans la pièce. J’attrapais la première page du quotidien qui affichait le « 15 septembre 1956 », je soupirais avant de fermer les yeux. Et je le vis, le nomade, son visage souriant et grave à la fois, ses cheveux désordonnés, même son style vestimentaire m’interpellait : sous une veste sombre, il portait une chemise entrouverte laissant apparaitre une chaine, mais je ne m’étais pas attardé sur son pantalon, juste son torse si parfait… Et sans m’en rendre compte, ma nuit toute entière tourna autour de lui.

Quelques jours plus tard, j’étais en ville et soudain, je sentie une présence derrière moi, je fermais les yeux quelques secondes, juste le temps de l’entendre assurer que je lui avais manqué. Et ce jeu dura quelques temps entre nous, « suis-moi, je te fuis ; fuis-moi, je te suis ». Et plus nous nous fréquentions, moins j’éprouvais à son égard de la simple amitié. Ce que je ressentais alors était les sentiments les plus forts que j’avais eu jusque lors. Je prenais plus de soin pour me vêtir, je me maquillais quelques peu. J’étais plus joyeuse, je chantonnais, m’activais, je n’étais plus vraiment moi. Et un soir, nous nous sommes retrouver à discuter plus longuement, il me parla du fait qu’il avait été au service du clan de Pennsylvanie. Oui, sinon, pourquoi t’en aurais-je parlé ? Bref, nous nous étions retrouvés sur la balustrade de notre rencontre. Nous décidions alors de nous promener quelque peu, marchant l’un à côté de l’autre, jusqu’à ce qu’il décide de jouer en courant vers l’entrée d’un parc avant de grimper dans un arbre et de me souffler de le suivre.

Je me hissais alors doucement sur une branche jusqu’à être tout près de lui. Il prit entre ses doigts une mèche de mes cheveux avant de grimper plus haut dans l’arbre alors que je le suivais toujours. Arrivé au sommet, il s’assit alors que je préférais rester debout sur une des branches, il plongea son regard de braise dans le mien avant de murmurer qu’il n’avait plus la force de me quitter. Que, malgré le fait que mon style de vie soit stupide et sans queue ni tête car nous étions faits pour nous nourrir d’humains, il pourrait s’en passer plus aisément que de devoir partir. « Alors reste Conrad, reste avec moi. » Je baissais les yeux quelques instants devant cette déclaration à peine masquée que je venais de lui faire. Mon adonis me fit lever la tête, plaçant ses doigts sous mon menton en murmurant : « l’éternité n’est rien si tu es avec moi » et il posa ses lèvres sur les miennes. Mes doigts glissèrent dans ses cheveux et je su instantanément que notre histoire durerait, et depuis, nous sommes ensemble, je l’ai même trainé à Woodstock, c’est pour dire, heureusement que là bas, certes, ils se défonçaient mais également ils évitaient de saigner car après coup, je ne suis pas sûre que ça aurait été une bonne idée… Mais c’est une autre histoire…

Je réclame un rp xD!



Bienvenue Merlow !

Merci Ô grande Admin
Vive les gaffes msniennes... ^^
C'est trop gentil, je te nehme [Pas que pour ça mais c'est pas grave xD]
Vive l'allemand, ça donne de l'inspiration (pour faire tout autre chose....)

Mdrrrr, c'est gentil Ryan, avec plaisir (mais pas cette semaine, saleté de bac blanc u__u")
Merci Jayden,
tant d'enthousiasme c'est cool

Welcomeeeeee tite soeurette =)

A2 LA A2 ?? Que je connais de Beverly ???

AILIZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ
Oui c'est moi, la seule et unique A2.
(Parce que les autres ont honte de se surnommer comme moi ^^ )
Ravie de te revoir.... En plus t'es ma soeur dessus, c'est cool =)

Bienvenue Mamzelle !

Raah lalala je suis fin contente en plus t'as changé de vava' Nathalie est mille fois mieux

T'as eu droit à une validation express en plus ^^

Bienvenue :D

Merci !!!!


Qu'est-ce que t'as contre Erica Durance ?! ^^
Mais Nat', c'est mon actrice préférée, elle est magnifiquement splendide
J'suis contente aussi...
(C'est ça avoir ses entrées xDD [*sort] )

Maaais pas Ericaaaa l'actrice qui était prévue pour Merlow xD mdrrr

Bienvenue !!!

Han, les Clans Bratford et Callahan au complet !

Olivia Callahan a écrit:

Maaais pas Ericaaaa l'actrice qui était prévue pour Merlow xD mdrrr

J'croyais que tu parlais en rapport à BA. BREF ! (La philo monte au cerveau, c'est pas ma faute )
Ouais... =) Nat' est beaucoup plus mieux XDD!

Merciii (Jared !! )

Declan Bratford a écrit:

Dustin Bratford a écrit:

Han, les Clans Bratford et Callahan au complet !

Il en manque encore un chez les Callahan

Oui ! Conrad Jackson alias Garett


Oui, c'est beau heiiin xDD!

[HS: J'ai vu que vous aviez changé d'acteur pour Conrad, Justin ne plait plus ?? Ou t'as demandé à changer A2 petite maligne ?]

Mhh je viens de faire une recherche il joue dans Eragon je vooois Murtagh en +

J'amène ma soeur elle le joue direct Justin ^^ Mais j'avoue Garrett plaira sûrement plus [il a des cheveux lui!]

Bienvenue sur le forum =)
Avec un léger train de retard XD

Bienvenue ici! xD