Forever Begins Now
- Citation :
Dans cette partie, il vous faudra donc faire comme si vous répondiez à un sujet au cours du jeu, en introduisant votre personnage et en le faisant évoluer. Nous vous demandons également de parler de son histoire, son caractère, et de décrire son physique, en l’incluant dans le récit. Merci donc de soigner votre orthographe, ainsi que la syntaxe de vos phrases. Chaque partie devra faire un minimum de 500 mots (pour connaître le nombre de mot, rien de plus simple, collez votre texte dans tord, puis allez dans Outils / Statistiques). Il y a un sujet imposé, et le second est un peu plus libre, mais n’hésitez pas à demander de l’aide si vous bloquez. Merci de faire attention, et de choisir le sujet adapté en fonction du groupe de votre personnage (ainsi, un habitant de Forks ne pourra pas avoir entendu parler des légendes indiennes, etc).
CHAPTER ONE : - Citation :
- Racontez la première transformation de votre personnage, dans quelles circonstances elle a eu lieu. Si c’est un vampire, vous devrez parler de la morsure, et si c’est un lycan, des bouleversements qui auront emmenés cette transformation. Dans tous les cas, vous devez raconter comme votre personnage l’a vécu, ce qu’il a ressenti, ce qu’il a pensé, etc. N’hésitez pas à consulter le book antique en cas de doute, mais n’oubliez pas que les transformations sont douloureuses, et que les créatures ne tombent pas dans les pommes pendant !
C’était un jour ordinaire. Un jour où je devais aller au lycée. Je me rappellerais de ce moment toute ma vie. Après avoir embrassé mes parents, j’ai pris la moto (mes parents allaient prendre la voiture aujourd’hui pour se rendre à leur travail) et je suis partie dans ce lieu de torture où on doit nous enseigner certaines choses. J’étais plutôt contente car on avait biologie (seule matière où je portais un minimum d’intérêt).
Je suis arrivée au lycée en retard comme à mon habitude et je suis partie directement au secrétariat, sachant que mon professeur ne me laisserait jamais entrer en cours sans un mot. Je poussais la porte du bâtiment et entrais à l’Accueil. C’était une petite pièce qui ressemblait étrangement à une salle d’attente médicale. Aucune personne n’était assise sur les fauteuils. Il n’y avait que la secrétaire derrière son bureau qui rangeait des papiers. Lorsqu’elle me vit, elle ôta ses lunettes et d’un grand soupir me dit :
« Mademoiselle Alistair… Un mot de retard je suppose ?
- Vous supposez très bien »Elle me lança un regard de reproche et me tendit un billet de retard qu’elle avait déjà préparé sachant que je viendrais très certainement lui en réclamer un. Je lui fit un sourire éclatant et le prit.
Je sortis rapidement et entrais dans la salle de biologie. Le professeur s’arrêta dans son discours. Quelques élèves me regardaient en chuchotant mais je les ignorais. Je posais le mot de retard sur le bureau et partit à ma place. Le corps enseignant avait l’habitude de mes nombreux retards au lycée, c’est pourquoi ils ne me disaient plus rien.
J’étais au fond et m’appliquais à prendre des notes lorsque je sentis une immense chaleur m’envahir. Me ventilant à l’aide d’une feuille, je demandais à l’élève le plus proche de la fenêtre de l’ouvrir un peu. Il me regarda avec des yeux ronds, pensant que j’étais folle. On était en plein mois de Novembre et la neige tombait silencieusement au dehors. Il ne l’ouvrit pas et j’abandonnais. Je ne me sentais pas bien, des gouttes de sueur commençaient à perler sur mon front. Personne ne faisait attention à moi dans la salle de salle et le prof continuait à faire son cours d’une voix monotone.
Je commençais à respirer fortement. J’avais l’impression de manquer d’air. J’avais posé mon stylo depuis quelques minutes déjà et mes mains crispées, tenaient le bord de la table. J’avais la tête qui tournait, mon souffle commençait à se faire court dans ma gorge. Certaine que je ne manquerais pas de m’évanouir, je levais la main brusquement.
« Oui ? »Toutes les têtes se tournèrent vers moi et certains ricanaient en me regardant. Mais je n’avais que faire de leurs remarques stupides ! Il fallait que je sorte !
« Est-ce que je pourrais sortir ? »Le prof me regarda par-dessus ses lunettes pour me juger du regard, se demandant sûrement si j’étais assez mal pour qu’il me laisse sortir. Estimant peut-être que je ne jouais pas la comédie, il me désigna la porte.
Je ramassais mes affaires à la hâte et lorsque je passais devant lui, il m’arrêta du bras.
« Mademoiselle Alistair, vous devriez aller à l’infirmerie ».J’hochais la tête et me précipitais vers la poignée de la porte et la claquais derrière moi. Je ne me dirigeais pas vers l’infirmerie mais la sortie. J’avais comme une sorte de pressentiment. Au moment où j’allais franchir le portail du lycée, le gardien m’arrêta.
« Qu’est-ce que vous faites ?- Je pars chez moi !- Vous n’êtes pas en droit de sortir du lycée sans un mot ! »Il me bloqua la sortie, et son bras toucha accidentellement le mien.
« Mais vous êtes brulante !
- Poussez vous ! »Secouée de tremblements, je le poussais et il alla s’écraser sur le sol. Stupéfaite de ma soudaine force, je sortis rapidement avant qu’il n’ait l’idée de se relever et de me poursuivre. Je courus à perdre haleine vers ma moto et les mains tremblantes je tentais de faire entrer la clé dans la serrure. Lorsque j’y parvins enfin, je ne prit même pas le temps de mettre mon casque et démarrais en trombe. C’est sûrement un miracle qui me fit parvenir à la maison saine et sauve. Je lâchais la moto dans le jardin, j’avais un mauvais pressentiment, le genre d’évènements, qui, vous le savez va changer le cours de votre vie. Je courus vers la porte d’entrée que j’ouvris à la volée. Un attroupement se trouvait dans le salon et je reconnus une de nos voisines.
« Où est Maman ? Il faut que je lui parle !- Ma chérie… » Elle posa une main sur mon épaule et la retira vivement comme si elle s’était brulée. J’avais l’impression d’irradier de l’intérieur, de produire une intense chaleur. J’avais toujours des tremblements et je souffrais de l’intérieur. Comme si on me tirait fortement. La voisine me regarda avec des yeux ronds. Au début elle ne prononça pas un mot et m’emmena dans la pièce à côté.
« Je suis désolée de te dire cela, mais… tes parents viennent de mourir dans un accident de voiture ».Soudain mes tremblements cessèrent. Je la regardais sans même la voir. L’information qu’elle venait de me donner s’insinuait lentement dans mon cerveau, comme si je ne pouvais, je n’arrivais à réaliser ce qu’elle venait de me dire.
Puis je recommençais à m’agiter, le monde recommençait à tourner, je n’avais plus l’impression que le temps venait de s’arrêtait et je réagis violemment. Je la poussais de toutes mes forces et ouvrit la fenêtre. Je sautais (heureusement que nous étions au rez-de-chaussée) et je courus en direction de la forêt.
La main sur le cœur, je le sentis battre à une vitesse folle, trop vite pour celle d’un humain. Car lentement le doute s’insinuait dans mon esprit. Les légendes que j’avais tant entendues dans mon enfance semblaient jaillir devant mes yeux.
Je tombais à genou et poussais un long cri, le déchirement à l’intérieur reprenait de plus belle. Je ne savais plus où j’étais qui j’étais, me concentrant uniquement sur la douleur qui m’envahissait. Je sentis mes vêtements craquer et la transformation se produisit… Je sentis mes sens se décupler, mon cerveau s’ouvrir à de nouvelles choses dont je n’avais pas eu conscience jusqu’alors.
Je n’irais pas plus loin et je n’irais pas vous mentir. Etre un protecteur n’est pas terriblement excitant, non on ne se sent pas comme Superman (bourré de stéroïdes). Je ne vous parlerai pas de mon physique après ma mutation. Cela vous le découvrirez plus tard…
Tout ce que je peux vous dire est que ce jour là j'ai perdu deux être chers et je savais que je n'étais plus totalement humaine...
Fin du journal de Kimberly Alistair .
CHAPTER TWO : - Citation :
- Cette partie est un peu plus libre, puisque vous devez raconter un évènement marquant de la vie de votre personnage. Vous avez le champ libre, tant que ce soit un fait important, et qui a eu une répercusion sur lui.
Un mois après ma transformation, je m’étais jurée de ne plus reprendre mon journal. A quoi bon vivre sans les personnes qu’on aime. D’abord ma grand-mère puis mes parents. Quand est-ce que je pourrais revivre dans l’insouciance comme avant ? Je ne m’étais plus retransformée dès l’or. J’avais coupé le contact avec tous les membres de La Push. Je ne pouvais plus sentir ces regards sur moi.
Ces regards qui en savaient tant sur moi… Je voulais couper court avec tout ce qui me caractérisait avant : ma famille, mes origines, mon passé, tout. Je savais que je ne pourrais pas échapper longtemps à ce que j’étais réellement mais pour l’instant je me bornais à traîner moi et mes affaires d’un côté et d’un autre. Cela faisait un mois que je n’étais pas retournée en cours. Mais les gens savaient sûrement pour… voilà encore une chose à laquelle je n’essayais pas de penser après ma transformation : le décès de mes parents.
J’étais allée à l’enterrement, regardant de loin la scène. Les larmes aux yeux, je voyais tout les proches de mes parents leur dire adieu. Ils devaient sûrement penser que j’étais une fille ingrate, ou peut-être pensaient-ils (pour ceux qui étaient au courant) que ma transformation avait été un choc. Pour être un choc cela en avait été un ! J’étais à mille lieux d’imaginer que nos légendes étaient fondées. Je pense que je ne lirais plus jamais le Petit Chaperon Rouge ou autres contes de la même façon !
Toutes les choses en lesquelles je croyais avaient vacillé en un seul instant. Je ne savais plus ce que je devais croire, penser.
Ce matin là, j’étais loin d’imaginer qu’un autre événement allait marquer mon existence qui était bien trop palpitante à mon goût depuis quelques temps déjà.
J’étais partie à Port Angeles pour aller m’acheter un nouveau livre. Il n’y avait que la lecture qui me permettait de m’évader, échapper à qui j’étais réellement. Elle m’empêchait de réfléchir, me concentrant uniquement sur l’histoire et ses personnages.
J’avais envie d’une histoire d’amour. Je n’ai jamais été très romantique ni très fleur bleue mais les personnages de ces romans étaient tellement ridicules et pathétiques à mes yeux que j’espérais qu’ils me fassent rire à défaut de me faire pleurer.
J’entrais dans la petite boutique poussiéreuse et cherchais dans les rayonnages. Après une rapide discussion avec le vendeur je partis. Je faisais attention, depuis ma transformation, à éviter tout contact. Comme si j’étais habitée par une maladie rare et terriblement contagieuse.
Mon paquet sous la main, j’allais me diriger dans la rue où j’avais garé ma moto lorsqu’une odeur nauséabonde parvint à mes narines. Le parfum me piquaient les yeux, m’obligeant pratiquement à poser ma main sur mon nez. Curieuse je me dirigeais vers l’endroit me guidant uniquement de mon odorat.
Encore quelque chose qui avait changé chez moi : ma capacité à sentir des odeurs était devenue tellement grande ! Avant je n’aurais été capable de distinguer grâce à mon nez, une pomme d’un melon.
Je savais que j’approchais car j’étais désormais obligée de plaquer mon blouson sur mon visage pour échapper un petit peu de l’odeur pestilentielle. C’est alors que je les vis.
Une femme blonde, magnifique et un homme tellement beau que mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Pourtant à force de les regarder, j’avais l’impression qu’ils étaient dangereux. Leur beauté n’avait rien de naturelle, leur démarche était trop calculée, trop pensée. Ils ne pouvaient être normaux. Cherchant dans ma mémoire, la vérité me sauta aux yeux. Elle m’apparue si violemment que des tremblements commencèrent à me secouer. J’essayais de me maitriser. Je ne pouvais me transformer en pleine rue ! Déjà je sentais que les passants se retournaient à mon passage. C’est alors que le couple surnaturel se retourna et me regardèrent.
Je vis un éclair de compréhension traverser leurs pupilles. Ils savaient qui j’étais. Mieux que tous les humains réunis là qui ne voyaient qu’une jeune fille à la chevelure auburn, un air perdu dans ses yeux bleus.
La femme glissa quelques mots à l’oreille de son compagnon. Celui-ci ne me lâchait pas des yeux. Sa beauté était vraiment renversante. Mais maintenant que je savais qui ils étaient…
Je vis la femme retrousser les dents et en un éclair, ils disparurent. Lorsque je regardais de l’autre côté de la rue, je les vis me fixant. Je savais. Ils avaient eu peur de moi. Moi la petite Kimberly qui ne pourraient combattre une mouche sans se tordre le poignet ! Ces individus si majestueux si mystérieux avaient peur de moi ! C’était tout bonnement impensable. J’attendis leur départ et me précipitaient sur ma moto. Il fallait que je retourne à La Push. Il était temps que je fasse face à mes devoirs : traquer les vampires.
Extrait du journal de Kimberly Alistair.
What’s about you ?
AVATAR : Alexis Bledel
PSEUDO : Moony
SEXE : Girl Power ! xD
AGE : 17 ans
NIVEAU DE RP : Moyen je pense.
PRESENCE SUR LE FORUM : Pratiquement tous les jours mais je pense que pour les RP lorsque j’aurais cours ce sera plutôt les week ends.
OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM: Il me semble que c’était sur un autre Twilight.
QU'EN PENSEZ VOUS: J’adore tout : le design, le contexte, les personnages, mais surtout l’ORIGINALITE (marre de voir des clans Cullen sur tous les fofo’ !)
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