Conrad Jackson

NOM : Rien de bien original, mon nom est sûrement l’un des nom les plus utilisés aux Etats-Unis. Enfin pour faire court, mon nom de famille est : Jackson
PRENOM(S) : Conrad … et oui c’est mon prénom, pas mal hein ? En tout cas on voit que c’est pas moi qui l’ai choisit… c’est des bonnes sœurs qui me l’ont données à l’orphelinat. J’ai beau me plaindre, c’est tout de même mieux que Jean-Yves, non je dis ça parce qu’elles ont appelé l’un des orphelin comme ça… Je dois avouer que je suis bien heureux d’avoir échapper à ce calvaire, le pauvre garçon…
SURNOM(S) : Alors là si vous croyez que je vais vous les dire vous pouvez toujours vous brosser. Je n’aime pas particulièrement les surnoms, enfin sauf quand c’est Merlow qui me les donne… même si j’essaye de faire en sorte qu’elle évite de me donner des surnoms trop ridicules.
AGE : J’ai environs 205 ans, comme quoi je suis assez vieux contrairement à ce que mon corps laisse imaginer, c’est l’un des avantages à être vampire. Je dit bien « environs », parce qu’en faite lorsque je suis arrivé à l’Orphelinat on a décrété que j’avais un an, donc je me base là-dessus, mais qui sait je suis peut-être plus vieux d’un an… mais qu’est-ce qu’un an pour un immortel ?
DATE DE NAISSANCE : Je suis (supposé être) né en 1803, quand à vous dire la date précise c’est une tache un peu plus ardu. De ce fait je n’ai jamais fêter mon anniversaire, bien qu’une certaine personne dont je ne citerais pas le nom pour des raisons d’anonymat : MERLOW ! me tanne pour que je choisisse une date à laquelle je voudrais célébrer ma venue au monde… Pour moi la seule date ayant le droit à une quelconque célébration c’est la date de notre rencontre.
LIEU DE NAISSANCE: Je suppose que je suis né à New York, en tout cas c’est dans cette ville que j’ai grandis.
OCCUPATION : Si on m’avait dit un jours que je suivrais des études j’aurais certainement éclater de rire et pourtant je suis bel et bien étudiant, enfin pour le dire de manière plus correcte je suis « élève de terminal »… avec ma tête j’ai vachement l’air d’être lycéen ? Merlow pense le contraire, ce que je ne prends pas vraiment pour un compliment… je n’ai pas une tête de mioche !
GROUPE: We don’t want to be a monster [/i]

BEHIND THE MASK:

Honnêtement on ne peut pas dire que je sois la personne la plus objective pour parler de moi-même, mais j’essaierais d’être le plus sincère possible. Bon tout d’abord ce qu’on remarque sûrement en premier chez moi c’est que je ne suis pas forcément la personne la plus patiente qui soit, j’aime quand ça bouge et c’est facile à deviner parce que je suis toujours entrain de remuer, même quand je suis assis je m’agite… mais il y a des moments ou je peu rester calme, ça peu paraître un peu idiot de dire ça, mais quand je suis avec Merlow je suis plus calme… rien que de dire ça j’ai l’impression d’être entrin de sortir un vieux mélo, je déteste ça ! Mais c’est vrais je ne peu pas m’en empêcher, je pourrais rester des heures à la regarder sans bouger… bon je m’arrête là car je sens que je m’aventure sur un côté qui fait ressortir un peu trop ma « sensibilité ». Je ne suis pas spécialement macho, mais les pensées romantiques je préfère les garder pour le privé. Je ne suis pas macho certes, mais cela ne m’empêche pas d’être une personne assez jalouse, il m’est en effet extrêmement difficile de voir des hommes posés leurs regards sur celle que j’aime. Les humains on peut-être l’excuse de n’être que des humains et d’être donc irrémédiablement intrigué par la beauté vampirique, que tout à chacun nous possédons grâce à notre condition, mais même à eux je ne leurs pardonnent pas.
Je l’avoue j’ai également un côté très protecteur envers elle, je n’y peu rien je suis un homme après tout, protégé celle que j’aime est en quelques sortes inscrit dans mes gènes. Bien évidement je la sais capable de se défendre, mais j’ai vu tellement de vampire aux pouvoirs si puissants que j’aurais parfois souhaiter que mon pouvoir soit autre, plus à même de défendre mon amour. Je ne pourrais jamais me passer d’elle, elle est trop importante pour moi, mais j’ai parfois peur de la perdre. Une chose est pourtant certaine, autant je l’aime à en perdre la raison et à ne pas imaginer mon immortalité sans elle à mes côté, autant si je venais à commettre l’irréparable et donc à mordre un humain je sais que je partirais, parceque je n’oserais plus la regarder en face.

OBJET FETICHE:
Il y a bien un objet que je garde toujours sur moi, je ne sais pas pourquoi je le garde enfaite, c’est stupide, je devrais sans doute m’en séparer, il me rappel une période de ma vie qui me semble à présent bien lointaine. Il m’arrive de le tripoter nerveusement par moment quand mes idées dérives un peu trop, si Merlow savait, elle m’en voudrait sans doute un peu…en effet ce briquet m’a été confié par d’anciens « compagnons ». Il était donné à ceux qui exécutaient les vampires gênants, l’une de mes « activités » à une certaine époque.

GOUTS:

Hum… en général je passe la plupart de mon temps à bricoler, je ne sais pas si l’on peu appeler ça une réelle passion, mais je bricole un peu de tout, ça peut passer d’un ordinateur à une voiture, donc ne vous étonnez pas si vous voyez disparaître certains de vos objets, je suis sûrement déjà entrin les décortiquer ! J’aime également le sport, tout type de sport en faite, j’ai d’ailleurs toujours une balle de baseball sur moi, c’est l’un de mes sports favoris quand j’étais enfant j’y jouais souvent, enfin pas avec des balles, mais l’idée était là. Je ne regarde pas spécialement la télé, même les chaînes sportive, je trouve que le sport jouer par les humains est beaucoup trop… ennuyeux. Enfin, comme beaucoup, je pense, j’ai une certaine attirance pour la musique tout particulièrement pour le rock.

PHOBIE:

Ma plus grande peur est de perdre Merlow…je me rend bien compte que je parle énormément d’elle, mais que voulez vous elle est tout pour moi.

« Hé toi là ! »

New York, 1821. Je détalais comme un lapin à travers des ruelles que je ne connaissais que trop bien, un homme en tablier me poursuivant poing lever près à s’abattre sur moi, mais j’étais trop rapide pour le vieil homme. Il hélait derrière moi comme si il avait l’espoir que ses hurlements me feraient revenir en arrière, mais il en était évidement hors de question. Au bout de quelques minutes, je m’arrêtais, caché dans une ruelle sombre en cul de sac je me sentais à l’abris des regards. Je fouillais alors la poche de mon pantalon troué, et en sortit une petite miche de pain, je ne pus retenir mon sourire, cela faisait deux jours que j’avais le ventre vide alors ce petit rapt était le bienvenue. Fermant les yeux comme pour savourer se moment je croquait dans le bout de pain à pleine dents, mâchant lentement pour bien remplir mon estomac. Cela faisait maintenant six ans que je m’étais échapper de l’orphelinat, je n’avais rien contre les bonnes sœurs et j’avoue que dormir dans un lit était sans doute l’une des choses que j’avais le plus regretter, avec les repas à heures régulières, mais je ne supportais pas cet endroit, c’était comme une prison. Maintenant j’étais peut-être pauvre, mais je faisais tout ce qui me chantais, peut m’importait les vols, les nuits dans la rue, le froid ou bien la peur, du moment que je n’étais plus dans cet endroit austère.

Ayant le ventre aussi plein qu’une miche de pain pouvait combler un appétit vorace, je me laissais glisser contre l’un des murs de la ruelle, près à m’assoupir un instant, quand je me rendis compte que je n’étais pas seul. Il y avait un homme dans la ruelle, il semblait jeune, je n’aurais pu l’identifier avec cette obscurité, mais je le voyais se déplacer, il venait vers moi. Plein de question s’imposèrent à moi : d’où venait-il ? Était-il arrivé avant moi ? Et comment faisait-il pour… pour se déplacer sans le moindre bruit ? J’inspirais profondément en apercevant enfin le visage du mystérieux homme. Il était tellement pale, tellement beau mais ce qui surprenait surtout c’était ses yeux, d’un atroce et pourtant non moins sublime rouge. Mon cœur battait à tout rompre, je savais que j’aurais du me mettre à hurler, mais ma gorge était serrer, je savais que j’aurais du prendre mes jambes à mon cou, mais j’avais l’étrange impression que cela n’aurait servis à rien. Il s’accroupit alors à mes côtés, m’adressant un sourire relativement aimable.

« Cher ami, je vais te faire la proposition la plus incroyable de toute ta piètre existence… »

Une proposition ? En était-ce vraiment une en réalité ? Il ne me semblait pas réellement avoir de choix une fois la dite proposition énoncer au creux de mon oreille, comme l’on aurait murmurer un secret précieux. Après coup je trouve que la question avait tout de même été posée de manière pas assez « descriptive »… « La vie ou la mort ? » m’avait-il demandé, à voix si basse que j’avais eu du mal à l’entendre malgré notre proximité importante. J’étais resté silencieux pendant un instant, je ne comprenais pas et ne désirais pas comprendre à vrais dire, mais je fini tout de même par répondre dans un souffle : « La vie ».

Si j’avais pu savoir de quoi il en retournait réellement, aurais-je accepté ? Parfois j’aime à croire que non, mais parfois seulement…

Puis tout ne fut que douleur, la sensation de mourir mille fois brûlé sans que jamais cela ne cesse, j’attendais la mort, je pensais que la mort avait été sa réponse. C’était horrifiant, j’aurais voulu m’arracher le cœur pour que cela cesse enfin, la douleur me coupait mes sens et tout mon être était perdu dans cette vague ininterrompu de douleur. J’avais l’impression que cela avait durée des siècles, mais seulement trois jours s’étaient écoulés depuis que l’on m’avait transformé. Tant de douleur et maintenant je me sentais si bien, si fort, j’étais vivant ou presque.

Il m’expliqua tout ce que j’avais à savoir sur notre race et m’expliqua également toute les règles que je devais connaître au sujet de ce nouveau monde qui était mien à présent. La plus importante de ces règles, mais également la plus évidente, étant le fait que notre « état » était un secret pour tous. J’appris l’obéissance auprès de ce « maître » qui avait tendance à ce montrer des plus violents lorsqu’on ne lui obéissait, il était accompagné de deux « frères », ils étaient comme des rois et j’étais devenus l’un de leurs serviteurs. Oh mais quel serviteur je fus pour eux ! J’avais un don tout particulier, que les autres n’avaient pas, je pouvais détecter les pouvoirs peut ordinaire que possédaient certains vampires, il ne fut donc pas étonnant que l’on me chargea dès lors de trouver des vampires dit « rares ». Ils les voulaient pour grossir nos rangs, ils n’en avaient pas forcément besoin étant déjà très nombreux pour un clan de vampires.
Après quelques années passés sans arrêt auprès de mes maîtres, j’avais enfin l’occasion de « voyager » un peu, biensur au départ on ne me laissais pas partir seul, par méfiance sans aucun doute, puis voyant ma bonne volonté on fini par m’accorder le privilège de vaquer seul à ma tâche. Je m’étais beaucoup de bonne volonté dans ce travail, ayant appris à apprécier mes maîtres.
Puis les années passèrent, un siècle s’écoulât alors, je finis par être las de tout ça, l’obéissance allait un moment, mais c’était usant et je sentais que je ne pouvais plus continuer ainsi, il manquait quelque chose à ma non-vie. Je m’ennuyais et cela je pense que même mes maîtres le percevaient.

J’étais perché sur les toits d’un immeuble scrutant de mes yeux de lynx la ville plongé dans la pénombre, cherchant une nourriture approprié, j’avais mes propres règles, ni femmes ni enfants. Ni voyez rien de chevaleresque, enfaite c’était surtout parceque j’avais un certains remords quand je tuais des femmes, quand aux enfants et bien, malgré le fait que leurs sangs soient très goûteux car plus « neuf », ils n’en restaient pas moins de petites doses pour moi, bien insuffisant pour assouvir ma soif. Mon regard se posa soudain sur un homme, il semblait en piteuse état, saoul, complètement, ce serait une proie très amusante, les hommes saouls avaient tendance à avoir des comportements très désopilant face à la mort.

Etant en position assise je me redressait et levait le visage vers le ciel en souriant. Cette ville était assez plaisante en y regardant bien. J’étais venu pour accompagné mes maîtres, histoires de voir si il y avait des personnes « intéressantes » à ramener avec nous, pour le moment je devais simplement attendre, j’irais à la rencontre du beau monde plus tard, sur ordre de mes maîtres, enfin ça c’est ce qui était prévu.

Trop loin pour pouvoir la sentir, mais assez près pour pouvoir la garder dans mon champ de vision je vis une jeune vampire suivit par l’homme saoul qui titubait derrière elle. Je sautais plus bas, me dressant sur un des balcons vide de l’immeuble ou je m’étais hissé. Je l’attendais, je savais qu’elle viendrait là, elle ne semblait pas vouloir faire usage de ses dons devant l’humain, son comportement m’intriguait au plus haut point. Elle aurait pu tellement facilement le tuer, je me demandais ce qu’elle attendait. Elle monta alors sur un autre balcon, je la regardais du coin de l’œil, Dieu ce qu’elle était belle ! Une fois l’humain éloigné je me plaçais à côté de la demoiselle qui semblait vouloir faire fit de ma présence, je l’avoue cela me titillais légèrement.

« Tu ne le chasse pas ? Tu le laisses partir ? » Lui demandais intrigué par sa passiveté à l’égard du mortel.

Aussi sec qu’un coup de tonnerre elle me rembara, je ne put m’empêcher de rire, rire, cela faisait tellement longtemps que je n’en avais pas eu l’occasion. Je devais récompenser cette prouesse :

« Veux tu que je m’en charge pour toi ? »

Bizarrement elle ne voulut pas, décidément elle était bien particulière cette demoiselle.
Me rappelant que je ne devais pas tarder à rentrée voir mes maîtres, je du me résigner à quitter la demoiselle. J’avais pourtant un certain regret à cette idée, même si notre rencontre avait été brève, en temps comme en dialogue, je souhaitais néanmoins avoir un jour l’occasion de croiser de nouveau son chemin.

« Conrad Jackson » Lançais dans un souffle à l’attention de la belle avant de disparaître.

Je ne me fis pas prier pour rentrer, sachant que si j’arrivais en retard j’aurais le droit à un accueil des plus douloureux en retour. Mais j’avais faim et si ils le voyaient ils se demanderaient ce que j’avais fait pendant ce temps au lieu de chasser, bizarrement je n’avais pas envie qu’ils le sachent. Je chassais donc, me mettant à la poursuite d’un homme qui était tombé en panne sur la route. Comme je m’en doutais, j’étais en retard et comme je m’en doutais aussi je payais le prix fort. Cela n’avait pourtant aucune importance, j’étais ailleurs, je n’arrivais pas à cesser de penser à mon ange brun. Je voulais la revoir, je le souhaitais plus que tout. Je n’eu pas l’occasion d’avoir la permission de retourner dans sa ville aussi vite que je l’aurais souhaiter, mais ayant rappeler aux bons souvenirs de mes maîtres qu’il y avait un nombre conséquent de vampire en ces lieux je pu enfin retourner auprès de ma belle.

Je ne mis pas longtemps à la repérer, son odeur inondait la ville autant que mes souvenirs. Je la revis alors, ce jour là et d’autres encore, si bien que mes retards et les « punitions », qui allaient avec, ne cessaient de fuser. Mais j’étais heureux, plus que je ne l’avais été dans toute mon existence, aussi bien vampirique qu’humaine. J’étais totalement dépendant à sa présence, à sa voix, à son odeurs, à nos conversations, mais je savais que je ne pourrais pas continuer ainsi éternellement, il fallait faire un choix et j’avais bien peur qu’il ne soit déjà graver en moi à jamais. Restait maintenant à être capable d’en assumer les conséquences.

J’avais décidé, de tout arrêter de lui dire, de partir, assumer. Je la rejoignis et nous nous baladâmes, si mon cœur avait pu battre encore il aurait bondi de ma poitrine tellement j’étais anxieux, j’appréhendais sa réaction et avait imaginer tout un tas de scènes où elle m’aurait repoussée, pour ne pas être trop blesser si c’était réellement le cas. Ce n’était pas de la fanfaronnerie, mais j’avais tout de même du mal à imaginer qu’elle le fasse, j’avais confiance en mes sentiments et étaient quasi certain qu’elle ne pouvait que ressentir la même chose tellement c’était fort.

Percher dans un arbre je me décidais enfin, ne prononçant pas les mots exacts que j’aurais voulut lui dire, mais c’était tout comme :

« Je n’ai plus la force de te quitter. Et malgré le fait que je trouve ton style de vie stupide et sans queue ni tête, car nous sommes faits pour nous nourrir d’humains… je pourrais m’en passer plus aisément que de devoir partir loin »

J’avais peur de l’avoir énerver, comme j’en avais l’habitude lorsque nous abordions le sujet de l’alimentation, malgré le fait que tout de même ma phrase était au final un aveu délicat. Je m’en voulais de n’avoir pas placer un « loin de toi » à la fin de ma phrase, si je m’étais écouté je me serait volontiers frapper la tête contre le tronc de l’arbre, sur lequel nous étions perché, tellement je me trouvais stupide. Mais, coupant court à mes songeries, elle pris alors la parole et mis fin rapidement à mes angoisses :

« Alors reste Conrad, reste avec moi. » Me dit-elle de sa voix si pur.

Un léger sourire se dessina alors sur mes lèvres, elle semblait gêner d’avoir dit ses mots et je ne voulais pas qu’il en fût ainsi plus longtemps, alors je lui relevais le visage délicatement pour lui déclarer ce que j’avais dans le cœur depuis tellement de temps. L’éternité n’était rien si elle était avec moi. Ce fut ensuite la toute première fois que je l’embrassais, malgré le nombre de fois où j’en avais eu l’envie auparavant !

Je ne revins plus jamais auprès de mes anciens « compagnons », connaissant le pouvoir de chacun d’entre eux je savais comment disparaître, cela m’était aisé. Mais je savais également que si un jour on me retrouvait, j’étais cette fois bel et bien mort. Nul n’a le droit à une seconde chance, pourtant la mort m’est bien égal, je l’ai elle, le reste importe peu.

AVATAR : Garrett Hedlund
PSEUDO : Artémis94, PanicMoon, PanicAngel, BrendonAddict et d’autres…le jours où je me fixerais n’est pas arrivé !
SEXE : Féminin aux dernières nouvelles
AGE : 19 ans
NIVEAU DE RP : Eu… Moyen va-t-on dire
PRESENCE SUR LE FORUM : Le soir et un peu le week-end, ça dépend vraiment des jours enfaite!
OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM: Hum…bonne question, alors déjà je l’ai trouvé hier mais où ?... si vous êtes partenaire d’Obsession on va dire que ça doit être là !
QU'EN PENSEZ VOUS: Pour être honnête, j’adore ^.^
COMMENTAIRES(S) :