Aria | Wherever you go, you know I'll be there...

Invité

Let’s start from the beginning.

Nom : Witherspoon est un nom qu’elle s’est inventée, la belle brune ayant renié ses origines il y a maintes années
Prénom(s) : Aria Jolena (=pourpre)
Surnom(s) : Ceux qui la craigne la surnomme la Reine Pourpre à cause de son goût prononcé pour les massacres sanglants...
Age : 422 ans (19 lors de sa transformation)
Date de naissance : 1586
Lieu de naissance : Wroclaw, Pologne
Nationalité(s) : Polonaise
Occupation :
Groupe : we are the bad guy

What’s about you ?

Avatar : Camilla Belle
Pseudo : Chachoune
Fille ou garçon : Fille
Age : 19 ans
Votre niveau de RP : 6/10 (mieux vaut être prudent lol)
Votre présence sur le forum : assez régulière, si je ne poste pas à chaque visite (parce que j’ai une vie tout de même), j’essaie de passer au moins un fois par jour pour me tenir au courant
Où avez vous connu le forum : Sur un top-site
Que pensez-vous du forum: A la base, je cherchais un forum RPG Twilight mais finalement, votre contexte me plait mieux ! J’ai tout de suite accroché et le design est très sympa… et en prime, j’adore Camilla Belle ^^
Commentaire(s) :

Invité

What do you live for?

Part I :

L’hiver arrivait à grands pas et déjà, toutes les campagnes étaient recouvertes d’un manteau de neige épais et compact. Accroupie au pied d’un petit feu qui la réchauffait à peine, Aria arrachait par poignée les plumes d’un maigre poulet qu’elle avait dérobé deux heures plus tôt au village voisin. Elle se trouvait dans un sous-bois que la neige n’avait pas épargné. Pour les quelques jours futurs, ce serait sa maison, comme l’avaient été bien d’autres avant celui-ci.
Depuis deux années, elle parcourait le pays sans autre but que celui de vivre au jour le jour. La jeune femme pillait -tuait parfois- et avait oublié ce qu’était la chaleur d’un foyer. Elle avait oublié comment ne plus être seule.
Derrière elle se trouvait toute une vie de solitude et de violence. Déjà alors, l’humaine qu’elle était il y a bien longtemps avait pratiquement disparu...
De longs cheveux sales et broussailleux retombaient devant ses yeux aux iris presque noirs et sa peau laiteuse autrefois aussi pure que la neige était aujourd’hui sale.
Elle était habillée de peaux de mouton et ses larges bottes fourrées laissaient d’énormes empreintes boueuses dans le blanc immaculé.
Au loin, un hennissement de cheval la tira de son occupation et Aria redressa la tête, l’oreille aux aguets. D’un geste vif, elle se redressa et parcourut quelques mètres et, après quelques secondes à tendre l’oreille, elle entendit à nouveau les sons significatifs d’un passage sur la petite route boueuse qui bordait le sous-bois.
Sans un regard en arrière, elle s’engagea à travers les arbres aux branches basses et dénudées, faisant tomber sur son passage la neige qui les recouvrait.
Une fois à la lisière, la jeune sauvageonne s’accroupit derrière quelques buissons et attendit, les yeux rivés sur la petite route en contre bas. Après deux petites minutes d’attente, un cavalier lui apparut enfin.
Aria émit un grognement de plaisir. Celui-ci devait avoir une fortune cachée quelque part dans l’une de ses bourses car ses atours étaient princiers. La robe du cheval qu’il montait était lisse et brillante. De plus, la bête était en très bonne forme et ses muscles étaient saillants et puissants.
L’homme qui le montait était à l’image de l’animal : grand, imposant, large et élégant dans son genre.
La jeune femme savait exactement ce qui allait se passer. Elle allait attendre que le cavalier soit à sa hauteur, plongerait sur lui, le ferait tomber de son cheval -lui écraserait le crâne avec l’un des gros cailloux qui bordaient le chemin s’il se montrait trop récalcitrant- puis le dépouillerait de son cheval. Elle lui ôterait également sa bourse, son casque et ses bottes en cuir qui devaient garantir du froid bien mieux que les siennes…
Elle sourit à cette pensée, étirant son visage sale en une expression sinistre.
Quelques secondes plus tard, alors que le voyageur passait enfin juste devant elle à pas tranquilles, Aria bondit en poussant un mugissement sonore, attaquant tel un animal sauvage affamé.
L’autre réagit immédiatement.
Dans un même mouvement, il saisit les peaux de bête dont Aria était vêtue et la fit passer par-dessus sa propre tête avec une déconcertante facilité. C’était comme si elle ne pesait pas plus lourd qu’une poignée de neige.
L’agresseur atterrit donc sur le dos, et n'eut pas le temps de comprendre ce qui venait de se passer. Le cavalier était déjà sur elle, faisant preuve d’une agilité et d’une vitesse étonnante.
Après avoir quitté sa monture, d'un geste vif, il la saisit à la gorge et le souleva de terre avec facilité.
Suffoquant et crachotant, ses yeux brun embués de larmes, Aria put enfin distinguer le visage du voyageur. Une horreur mêlée de fascination s’empara alors d’elle, si bien qu’elle en oublia presque à quel point l’air lui manquait maintenant.
Le visage de l’homme qui l’étranglait était étrange, à la fois jeune et vieux, des os saillants marquant la mâchoire et les pommettes, à la fois beau et monstrueux. Mais tout ça passa inaperçu, ce qui fascina Aria, ce furent ses yeux.
Ils étaient rouge. Deux billes fieilleuse d'une couleur rubis.
Sans le moindre signe d’effort dans la voix, l’homme s’adressa à Aria d’une voix chantante.

« Espèce de folle ! » Fit-il avec un étrange accent « J’ai senti ta puanteur à des kilomètres ! Tu es tellement bruyante que j’aurai pu te repérer dans le noir complet, souillonne ! » Cracha le voyageur

Le sang d’Aria ne fit qu’un tour. Elle haïssait être ridiculisé de la sorte.
Avec vivacité, elle envoya son pied valser dans l’imposante mâchoire de l’étranger qui étouffa une exclamation de surprise plus que de douleur et qui la lâcha enfin.
Elle s’écroula dans la neige et ne perdit pas une seconde. Dans un hurlement de rage, elle se redressa et fonça tête baissée sur le cavalier. Mais une fois encore, l'homme à l'impostante stature la repoussa comme si elle n'avait été qu'une brindille insinifiante sur son chemin. Alors qu'elle s'écroulait durement sur la neige maintenant boueuse, il l’empoigna fermement et la fit passer cul par-dessus tête.

« Tu encaisses bien mais ta technique est aussi rudimentaire que le torchon qui te sert de vêtement ! » Lança l’homme, accompagnant sa phrase d’un rire guttural pareil à un aboiement

Aria grogna. Sa colère était telle qu’elle ne pouvait plus supporter la vue de ces immondes yeux d'un rouge sanguin.

« Mais tes maigres talents ne suffiront pas pour m’occire » Ajouta-t-il

Et la seconde d’après, le voyageur avait traversé toute la distance qui les séparait, et l’avait plaquée à terre.
Il se tenait maintenant au-dessus d’Aria qui l’observait de ses yeux exorbités par la terreur.

« Aucune lame ni aucune balle ne peuvent m’ôter la vie ! » Murmura-t-il à la jeune femme, ses yeux jaunes agrandis pas l’excitation « Les paysans de ton genre m’appellent Démon ou vampire, mais j’ai bien d’autres noms et je fus appelé de nombreuses manières différentes à travers les âges ! Je ne suis pas le seul de ma race, mais je suis le plus puissant »

Il sourit à Aria, découvrant quelques crocs pointus d’un blanc aussi pur que l’était la neige qui les entourait.

« Mon nom est Piotr, je suis né il y a plusieurs siècles sur les hautes terres des hommes du Nord » Se présenta-t-il « Et toi ma chère enfant, comment t’as-t-on nommée ? »

« …Aria» Répondit la Polonaise dans un souffle, hypnotisée par la couleur des yeux de l’homme qui la maintenait couchée dans la neige

Ce dernier sembla la jauger du regard durant quelques instants, sondant ses yeux avec minutie.

« Aria… les dieux m’ont donnés bien des facultés… et ils m’ont également offert le pouvoir de les transmettre » Expliqua-t-il « Il y a quelques décennies, je n’étais pas seul comme je le suis aujourd’hui. J’avais fondée une famille plus nombreuse que tu ne peux l’imaginer. Mais ces stupides mortels vivent dans la peur et ils ont ruiné ce à quoi j’avais dédiée ma vie entière. Ce fut la dernière fois que je vis mon sang couler… mais j’en réchappai. Ce ne fut pas le cas des miens qui périrent tous jusqu’au dernier » Enchaîna-t-il, une colère froide assourdissant sa voix « Aujourd’hui, je sens que le jour est revenu… aujourd’hui, je sais, … Aria, que le temps est venu pour moi, de reconstruire »

Il lâcha enfin la jeune femme puis se redressa lentement. Il tendit alors sa main gantée à l’autre qui, après une hésitation, la saisit, passant ses doigts sales autour du poignet de l’étranger.
Elle était trop intriguée par le discours de Piotr pour encore songer à l’attaquer.

« Mais pour reconstruire, j’ai besoin de compagnons. J’ai besoin d’hommes forts et puissants qui sauront garantir la sécurité des nôtres afin que jamais plus une telle monstruosité se reproduise, j’ai besoin de femmes telles que toi, de la finesse de tes traits… »

Après l’avoir relevée, Piotr, qui avait gardé la main d’Aria dans la sienne y déposa un baiser.

« Ce que je t’offre, c’est ce que jamais encore tu n’as pu rêver. Ce que je t’offre aujourd’hui, personne d’autre ne te l’offrira plus jamais de toute ta misérable existence. Je t’offre les plus beaux trésors, je t’offre les plus beaux hommes, les plus beaux atours, les plus belles demeures, les plus sombres secrets, la plus pure des liberté… je t’offre une vie de reine, à troquer contre une existence de vagabonde » Fit Piotr sans perdre Aria des yeux « Ce que je veux en échange, c’est une loyauté sans faille, et l’assurance que je serai le seul pour qui tu te battras, aussi longtemps que mes pieds fouleront encore cette terre »

Aria mit quelques instants à répondre.Mais ce n’était pas le doute qui l’empêchait de parler. Non, c’était la joie.
Toute sa vie, elle avait tâtonné dans ce qui lui semblait être un brouillard sans fin, se débattant dans la saleté et la pauvreté sans jamais en voir le bout. Vivant comme un animal dans sa propre puanteur. Elle n’avait ni but, ni destination. Elle n’avait que des endroits à fuir.
Depuis toujours, elle espérait, elle attendait. Quelque chose, n’importe quoi.
Maintenant, enfin, les dieux avaient exaucé ses prières…

« Tant que tes pieds fouleront cette terre… Piotr… je fais la promesse de suivre tes traces, où qu’elles me mènent… »

Il lui sourit.

« Bien,… je m’attendais à une telle réponse… alors prépare-toi ! Car tout va changer pour toi »

Aria l’ignorait encore à cet instant, mais cette journée était sa dernière en tant qu’être humain, et ce, pour les siècles à venir…
Les membres légèrement tremblant à cause de l’excitation qui animait le corps de la jeune polonaise, Aria laissa les mains de l’inconnu parcourir son corps. Il glissa ses mains douces sous ses lourds vêtements, la faisant frissonner de plaisir. Les lèvres de l’homme vinrent ensuite embrasser son cou tandis qu’elle rejetait la tête en arrière, fermant les yeux comme pour mieux graver ce souvenir dans sa mémoire.
Toute sa vie elle avait espéré un changement. Tout sa vie elle avait attendu le jour où un inconnu croiserait sa route et changerait son destin à jamais… ce jour était enfin venu et elle ne voulait pas en perdre une miette. S’abandonnant donc complètement aux mains de Piotr, elle agrippa son lourd manteau au moment où le baiser de l’homme se transforma en morsure.
Un gémissement s’échappa des lèvres gercées d’Aria qui enserra le manteau de celui qui allait devenir son maitre avec plus de force.
Et soudain, ses yeux s’écarquillèrent et ses geignements d’excitation se transformèrent en râles rauques. Ses muscles se raidirent à mesure qu’un liquide brûlant se répandait dans tout son corps. Les mâchoires crispées, elle n’avait plus d’autre choix que de se laisser aller aux bras musculeux de Piotr. Il l’avait trompée ! Il allait la tuer ! Elle allait mourir bêtement, ignorée de tous, emportée par sa stupidité. Il était en train de la faire brûler de l’intérieur, comment avait-il pu croire qu’il transformerait sa vie ?
La jeune femme ne sentit pas les lèvres du vampire quitter sa peau sale. Tout ce qu’elle pouvait sentir, c’était cette douleur insoutenable qui la traversait de part en part, la paralysait et l’empêchait de raisonner.
Sa vie d'humaine n'avait été qu'un enchainement de souffrances et Aria la terminait dans la douleur pour renaitre et devenir celle qui ferait maintenant souffrir...

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Part II :

Aria se trouvait parmi toute une foule de badauds curieux sur l’une des grandes places de la ville.
Le soleil déclinait rapidement en cette fraiche soirée du début de l’automne.
Devant l’attroupement, sur une estrade de bois se trouvait un artiste qui déclamait des poèmes dans l’espoir de quelques sous.
D’ordinaire, la vampire ne s’attardait pas à ce genre de spectacle, mais son oreille avait alors capté quelques vers qu’elle affectionnait beaucoup et elle s’était laissée aller à écouter l’homme à la peau pâle. Il ferait assurément un délicieux repas… mais elle avait d’autres plans pour ce soir.
Une fois son récital terminé, quelques applaudissements discrets se firent entendre ça et là et la foule se dissipa bientôt tandis que quelques pièces de monnaie retombaient avec bruits sur l’estrade où le jeune acteur saluait avec entrain.
Aria l’observa avec un demi-sourire mutin, s’imaginant planter ses crocs dans la chair tendre du pourceau...
Quelques goûtes se mirent alors à tomber et la vampire leva les yeux au ciel avant de porter sa main gantée à son couvre-chef savamment épinglée à son chignon compliqué.
De l’autre, elle souleva les nombreux voiles de sa grande jupe d’un vert sombre.

« Madame ? » L’appela une voix dans son dos

Aria se retourna vivement pour faire face à un jeune homme. Celui-ci portait des cheveux courts et bruns tirant sur le roux et une petite barbe naissante ornait son menton.

« Votre calèche vous attend, Madame » Lui annonça-t-il

« Merci Edward » Répondit-elle dans un français imparfait qui avait séduit plus d’un homme à Paris

Elle s’avança ensuite vers lui à grands pas alors que la pluie s’intensifiait de plus en plus et, arrivée à sa hauteur, elle tendit au jeune homme une petite pièce de monnaie.

« Allez donc lui porter ceci, Edward, parce qu’il est très courageux de réciter du Lamartine de cette manière » Sourit-elle

Le jeune homme acquiesça puis se saisit de la petite pièce.
Pendant ce temps, Aria se dirigea vers la calèche, se dépêchant pour ne pas finir trempée.
Le coché lui ouvrit la petite portière et lui donna la main pour qu’elle s’installe sur la banquette recouverte de cuire beige. Elle fut bientôt rejointe par Edward qui prit place à ses côtés juste avant que la calèche ne s’élance.
La vampire soupira tandis que son regard s’attardait avec plaisir sur les rues boueuses et ruisselantes où se pressaient les parisiens. Ils traversèrent bon nombre de petites rues étroites et bordées de hautes maisons blanches, traversées de lourdes poutrelles de bois froncées.
Après un moment, lassée, elle se tourna vers l’homme qui partageait l’habitacle pour le détailler avec la plus grande attention.
Il lui ressemblait en de nombreux points et étaient en même temps radicalement différent. Elle ne les choisissait plus que pour leur ressemblance avec l’ingrat qui avait osé atteindre son cœur de pierre.
Elle avait goûté son sang, s’était offerte à lui…et il l’avait repoussée. Jamais de toute sa longue existence elle n’avait été traitée de la sorte par aucun humain. Ces êtres misérables tout justes bons à la sustenter.
Mais avec lui, ça avait été différent… Jules… Son Jules.
Il n’avait même pas fallut un regard pour qu’elle se damne. La vampire avait perçus les battements de son corps à des lieux de là. Son odeur si captivante… elle pouvait capter le moindre battement de ses cils, la moindre de ses respirations. Elle s’était délectée de la sueur de sa peau, de son sang…
Et il l’avait repoussée.
Minable petit humain !
Il avait fit d’elle sa chose ! Elle qui était craint parmi les siens, acclamé par les forts et redoutée des faibles.
Un pantin entre ces mains qui avaient caressée sa peau veloutée.

« Madame ? » La héla Edward « Quelque chose vous chagrine ? »

La vampire planta son regard assassin dans celui du jeune homme. Si quelque chose la chagrinait ?! Evidemment que quelque chose la chagrinait !!! Stupides humains ! Stupides morceaux de viandes curieux et ingrats ! Ils allaient tous payer ! Puisqu’elle ne pouvait pas se permettre de le faire payer lui, alors tous les autres paieraient !!
D’un mouvement brusque, la vampire se jeta soudain en avant, fondant sur l’homme qui avait été son compagnon de voyage pendant quelques jours pour planter sa mâchoire dans son cou. Les hurlements du jeune homme furent étouffés par la perte soudain de ses cordes vocales que la vampire mastiquaient maintenant avec acharnement, le sang du malheureux giclant sur son visage pâle. Il tressauta encore une ou deux fois puis toute vie déserta son corps qui de toute manière, n’était pas si semblable que cela à celui de Jules, les yeux exorbités de terreur et d’incompréhension.
Une fois satisfaite, la jeune femme se laissa retomber sur sa banquette, réajustant son chignon avant de faire passer délicatement sa langue sur ses lèvres rougies. Cet idiot d’Edward n’avait même pas bon goût. Son sang était malade. Il n’avait plus que quelques années à vivre de toute manière. Finalement, elle avait abrégées ses futures souffrances…
Cette conclusion arracha un éclat de rire cristallin à Aria qui posa son regard brun sur le cadavre sanglant de l’homme.
Il allait falloir qu’elle tue son cocher lorsqu’il serait rendu pour qu’il n’aille pas raconter à tous ce qu’elle avait fait à son jeune maitre.

« Vois-tu quelle dure vie je mène par ta faute Jules ? » Murmura-t-elle avec nostalgie, tournant son visage maculé de sang vers la petite vitre donnant sur les rues parisienne de l'an 1809

Invité

Voilà, j'ai terminé ma fiche!! ...enfin j'espère Aria | Wherever you go, you know I'll be there... 636603

Si quelque chose ne va pas ou manque, je reverrai ça dans les plus brefs délais (ça veut dire pas ce soir lol)

Invité

Très belle fiche !
Bienvenue ^^

Bienvenue et merci pour ton inscription!

Je kiffouille ton vava. Aria | Wherever you go, you know I'll be there... 216384

Concernant ta présentation, il y a quelques détails à modifier (mais rien de bien méchant ^^).

Les vampires ayant les yeux "jaunes" (et d'ailleurs c'est plus ocre comme couleur), ce sont les végétariens, les vampires qui se nourissent d'humains les ont rubis pour les plus vieux, et rouge vif pour les plus jeunes. Je dis ça par rapport à ta description de celui que t'a transformé. Ensuite, il est impossible qu'une humaine parvint à blesser un vampire, surtout avec un coup de poing. De même, il est beaucoup trop faible pour parvenir à le repousser, et la peau aussi dure qu'une pierre d'un vampire ne s'ouvre pas si facilement. En fait, je te conseille d'aller lire les articles dans l'Antique Book pour t'aider à comprendre la nature des vampires de ce forum. ^^

La modification la plus importante à apporter reste ta transformation. On demande à ce qu'on parle d'avant, mais aussi pendant la transformation. C'est le premier souvenir d'un vampire, mais également le plus vif et net. Je te conseille également de lire les articles pour t'aider sur ce point.

Autre petit détail, évite de revenir à la ligne à chaque phrase stp, ce n'est pas très agréable à lire. ^^

Voilà, je pense que c'est tout. J'espère que ma liste ne t'a pas fait peur, mais à part la transformation, le reste est vraiment des petits détails très rapides. ^^ N'hésites pas à demander de l'aide en cas de problème. Bon courage! Wink

Invité

OK, pas de soucis, je m'y colle ^^

Non mais c'est tout à fait normal, tu ne fais que ton boulot lol
En fait... je commence les livres demain seulement (si j'arrive à les trouver en version originale), jusque là je n'ai vu que le film. Donc si tous les détails que tu as cité viennent de là... bah j'les connais pas Embarassed

Par exemple, je ne savais pas du tout à propos de la couleur des yeux, j'ai mis ça comme ça pour le suspense lol donc c'est cool de le savoir.
Si y avait une partie là-dessus sur le forum, je suis désolée de ne l'avoir pas trouvée.
Anyways... je refais signe quand j'ai terminé, merci d'avoir pris le temps de lire

Oh et merci à toi Riley, j'ai failli t'oublier Aria | Wherever you go, you know I'll be there... 656539

Aria | Wherever you go, you know I'll be there... 656539

Les livres, tu peux les trouver sur Amazon en version originale. Wink

Oui, c'est l'Antique Book, qui donne diverses infos sur les races. ^^ Bon courage!

Invité

lol oui je viens de voir! En fait... j'avais jamais fait descendre le curseur... J'comprennais pas, j'ai été voir au moins 3 fois et j'pensais devenir dingue ! xD
Mais j'ai une excuse : je suis malade... ah ça marche pas? tant pis lol
Je vais lire sur ce!

Invité

Bienvenue ici! (:

Biienv'nuue & Bonne chance =)

Invité

Merci tout le monde ^^

Voilà, j'ai édité ma fiche, j'espère que ça ira cette fois Suspect

Tout d'abord, je te souhaite la bienvenue sur le forum.
J'aime beaucoup ta facon d'écrire et le caractère de ton personnage. J'ai tout particuliérement aimé lire ta première partie.

Comme l'a signalé Enea, il serait bien que tu fasses des blocs d'écriture au lieu de sauter des lignes a la fin de chaque phrase, cela donne une impression désordonnée.

Hormis cela, je n'ai rien a redire, bien que certaines choses soient un peu peu probables comme le fait que les humains aient décimés un clan de vampires. Mais, comme ce n'est qu'un détail dans ton récit, je te

VALIDE

Bon jeu sur le forum ^^

Invité

Merci

Pour le style, je vais essayer de faire un effort. Personnellement, je déteste faire des blocs et préfère aérer ce que j'écris. Si vous n'aimez vraiment pas, je suivrai le mouvement cependant ^^
Pour le détail qu tu as cité, c'est parce que j'écris une WS avec des vampires et autres lycans, et il est possible pour des humains de les tuer donc voilà... déformation professionnelle, désolée Embarassed

Je ferai attention à ce genre de détails sur le forum
Merci encore.

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